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La 208, héritière de la saga des « séries 2 » de la Marque, a atteint en décembre 2012 son objectif sur le marché européen : elle prend la première place parmi les berlines du segment B.

Après le succès historique de ses devancières, 208 a réinventé en 2012 les codes de son segment, avec un objectif : reconquérir le leadership  dans sa catégorie en Europe.

En décembre 2012, quelques mois seulement après son lancement, 208 a pris la tête de son segment sur le Vieux Continent .

Avec 20 754 immatriculations, elle s’adjugeait 10,4 % du marché des berlines du segment B, devançant la VW Polo et la Ford Fiesta.

Elle figurait sur le podium dans plusieurs pays du périmètre et en occupait la plus haute marche notamment en France, en Espagne et au Portugal et la 2ème aux Pays-Bas.

Produite en France (Poissy) et en Slovaquie (Trnava), 208 a été lancée en Europe au printemps 2012.

Au second semestre,  elle a poursuivi son déploiement international, qui s’achèvera dans quelques mois avec la commercialisation en Russie et le lancement industriel au Brésil, à destination des marchés brésilien et argentin.

208 enregistre un mix élevé : depuis son lancement, le choix des clients s’est porté à 38 % sur les versions supérieures  (3 et 3+).

Déjà riche de onze motorisations – 6 essence, 5 diesel dont 4 e-HDi - aux puissances s’étageant de 68 à 156 ch et aux consommations particulièrement maîtrisées, la PEUGEOT 208 voit son offre couronnée, en ce début d'année 2013, de deux versions emblématiques : 208 XY, l’urbaine chic et exclusive et 208 GTi, qui fait revivre le mythe...

Enfin, la 208 concentre le savoir-faire unique de la Marque dans la catégorie des citadines : en termes stylistique, architectural et ergo... ; ce qui lui a valu d'être élue « Mejor Coche del Año 2013 » (Meilleure voiture de l'année 2013) en Espagne.

Depuis sa création en 1976, le salon RETROMOBILE se consacre entièrement à la voiture de collection.

Leader international, Rétromobile s’expose, depuis le début des années 80, au Parc des Expositions de la Porte de Versailles à Paris.

Conjugaison du passé et du futur, le salon relève chaque année le défi d’émerveiller le grand public et les collectionneurs, venus des quatre coins du globe.

Collections emblématiques, enchères de l’extrême, animations, constructeurs, clubs, artistes et marchands, tous contribuent à ces cinq jours de rêve.

Comme à l’accoutumée, tout sera mis en oeuvre pour que cette 38e  édition reste gravée dans la mémoire de chacun. 

La dernière édition, encensée par la presse française et étrangère, avec un climat d’affaire exceptionnel, a confirmé Rétromobile comme le salon incontournable attendu par les grands acteurs de l’automobile ancienne, en début d’année.

Comme à l’accoutumée, l'équipe organisatrice va mettre tout son savoir-faire et son imagination pour que cette 38ème édition reste gravée dans la mémoire de chacun, grand public et professionnels.

Un événement d'envergure internationale à Paris 

Le 6 octobre 1955, après la présentation de la DS Citroën au Salon de Paris, le paysage automobile n’a plus jamais été le même.

Posée sur un plateau tournant, la Citroën DS fit sensation.

Sous l’impulsion de Flaminio Bertoni, le styliste de la Maison Citroën, la DS fut entièrement testée en soufflerie, au centre d’Etudes de la Ferté Vidame.

De par ses formes originales, la DS semblait arriver tout droit d’une autre planète.

Véritable laboratoire roulant, la DS innovait par sa suspension hydropneumatique, son très sophistiqué système hydraulique, qui commandait les freins à disques, la boîte de vitesse semi-automatique, ainsi que l’embrayage automatique et la direction assistée.
 
Différente en tous points, c’est une impression de littéralement « flotter sur un nuage », que le conducteur ressent à son volant, sentiment renforcé par un intérieur révolutionnaire et un confort inégalable.

La face avant de la DS (qui n’est pas sans rappeler le requin « Tiburon »), les détails de l’aménagement intérieur (volant à une seule branche, tableau de bord révolutionnaire) ainsi qu’une gamme de coloris inédite, tous ces éléments firent de la DS une automobile à part.

Pas moins de 80 000 commandes furent passées pendant le Salon de Paris 1955 (ce que Citroën mis plusieurs années à honorer).

LUKAS HUNI AG, fortement impliqué depuis plusieurs décennies dans l’automobile historique de haut de gamme, s’est passionné depuis plusieurs années pour l’univers de la Citroën DS.

La présence de plusieurs modèles dans la collection privée de LUKAS HUNI, négociant suisse spécialisé dans l'automobile de collection, démontre sa passion pour ce modèle.

A la demande de François Melcion, directeur du Salon Rétromobile, un hommage sera donc rendu à la DS au Salon Rétromobile 2013, qui aura lieu du 6 au 10 février, porte de Versailles à PARIS.

C’est sur un espace spécialement dédié à la DS, qui rappellera le stand du Salon de Paris 1955, que LUKAS HUNI AG présentera une sélection des premiers modèles, pour le plus grand plaisir des yeux.

Les temps forts 2013 sur plus de 33 000 m2 :

- Une Rétrospective des Helica, étonnantes voitures à hélice qui fêteront leur centenaire

- Les 50 ans de la Porsche 911

- Les 30 ans de la Peugeot 205

- Une présentation de la DS telle qu’au Salon de l’Auto de 1955

- Le Morane et la Bugatti de Roland Garros

- Un Mirage 5 à l’extérieur du Salon

- La locomotive Seguin en fonctionnement à l’extérieur du Salon

- Deux Benz de la course du Prince Heinrich restaurées et présentées en première mondiale à Rétromobile sur les stands du Musée Louwman et de Mercedes-Benz.

- La vente aux Enchères Artcurial le vendredi 8 février 2013

- et aussi : plus de 500 voitures de toutes marques…., des exposants répartis en village, un pavillon entier dédié aux clubs et aux pièces détachées : des constructeurs, des marchands de pièces et accessoires, une centaine de clubs, une cinquantaine de marchands et carrossiers restaurateurs, une cinquantaine d’artistes et galeries, une trentaine d’artisans, et aussi des compagnies d’assurance et organisateurs d’événements !

En bref :

- 400 exposants
- 33 000 m² d'exposition
- 500 voitures exposées
- Plus de 100 clubs présents

  Vous découvrirez :
- Des constructeurs       
- Des clubs et fédérations
- Des organisateurs d'événements
- Des médias
- Des marchands d'automobilia
- Des marchands de pièces détachées et l'outillage
- Des marchands de véhicules
- Des maisons de ventes aux enchères
- Des restaurateurs carrossiers
- Des restaurateurs mécaniciens
- Des assureurs
- Des galeries d'art automobile

Artcurial Motorcars y réalise des ventes aux enchères.

En 2012, 402 lots ont été mis en vente, dont 96% ont été vendus représentant 14,5 millions d'euros adjugés.

Informations pratiques

Pavillons 2/2, 2/3 et 3 du Parc des expositions de Paris à la porte de Versailles

Horaires : mercredi 11/22 h, jeudi, samedi et dimanche : 10/19 h, vendredi : 10/22 h

Prix d’entrée : Adultes : 14 € - Gratuit pour les moins de 12 ans.
 

La PEUGEOT 208, héritière de la saga des « séries 2 » de la Marque, remporte en Espagne le prestigieux titre national de «  Mejor Coche del Año  2013  » et ajoute son numéro à un palmarès déjà riche de sept modèles PEUGEOT.

Pour la 41ème édition du prix organisé par le grand quotidien ABC, 54 nouveaux modèles commercialisés cette année en Espagne étaient soumis au jugement du jury, composé de 36 journalistes automobiles, représentant les principaux médias spécialisés et généralistes espagnols, sur une large gamme de critères d’appréciation.
 
Avec 137 points, la 208, lancée en avril 2012 sur le marché espagnol, l’emporte largement, devançant sur le podium la Seat Toledo (79) et la Hyundai i30 (57).
 
Succédant à la 508, distinguée l’an dernier, la 208 est le 8ème modèle PEUGEOT couronné par le prix espagnol.

Elle inscrit son numéro dans un palmarès comptant déjà les « séries 2 » des trois dernières générations (205, 206, 207).
 
Pour Antonio GONZALEZ, Directeur Général de PEUGEOT Espagne : « Ce prix, reconnaissance par un jury d’experts des nombreuses qualités de 208, confirme l’opinion des premiers clients de la voiture et les très bons résultats commerciaux déjà enregistrés. Il conforte notre conviction que la 208  constitue l’atout nous permettant d’aborder 2013 avec une énergie renouvelée ».
 
En fait, la 208 concentre le savoir-faire unique de PEUGEOT dans la catégorie des petites voitures polyvalentes.
 
Produite en France et en Slovaquie, elle a été lancée sur l’ensemble des marchés européens au printemps 2012.

Au second semestre, elle a poursuivi son déploiement international qui s’achèvera début 2013, avec sa commercialisation en Russie, avant son lancement industriel et commercial au Brésil.

La semaine dernière, nous avons commencé à vous présenter un incroyable bolide suédois, que l'un de nos confrères a eu la chance d'essayer.

Conçue comme une groupe C, la Koenigsegg Agera se compose d’une cellule carbone sur laquelle se greffent deux sous-châssis tubulaires, le tout habillé par une carrosserie également en carbone.

Les (très gros) freins sont évidemment en carbone, le montage étant signé Brembo.

Les suspensions sont à basculeurs, avec notamment une astucieuse barre antiroulis arrière en Z, un système présenté comme plus léger et plus efficace que les barres classiques.

Une nouvelle démonstration du fait que tout est intelligemment pensé sur cette Koenigsegg.
Extérieurement, la Koenigsegg Agera est on ne peut plus impressionnante !

Pourtant, elle n’est pas grande. Elle est même très, très basse : 1.12m seulement.

Il faut être souple, car le petit bouton d’ouverture est caché très très bas, au niveau du pli de la prise d’air.

La porte s’ouvre avec ce mouvement hélicoïdal typique de la marque, et qui rend le moment unique.

Mais ça y est, il faut y aller !

Une fois que l’on a réussi à se baisser fortement... tout en enjambant le large seuil de porte, on se trouve très bien installé.

Mais assurément, on s’y installera plus facilement lorsque le toit est retiré.

Car, comme le savez, toutes les Koenigsegg disposent d’un hard-top démontable comme les Corvette, les anciennes Porsche Targa et les Ferrari GTS.

Le toit dispose d’un emplacement sous le capot avant.

La partie intérieure du toit est capitonnée de cuir avec une partie centrale vitrée, l’ensemble étant des plus réussis.

C’est carrément de la haute couture !

La finition est parfaite et tout tombe bien en main.

Les pare-soleil sont minuscules, puisque l’habitacle est particulièrement bas.

Pour autant, on n’a pas l’impression d’être enfermé.

Le seul rangement sera par contre le porte-gobelet de la console centrale, qui était sur les précédentes Koenigsegg l’emplacement du levier de vitesse !

Même si ça ne fait pas très voiture de course, l’équipement est parfaitement complet : double airbag, clim’ automatique, GPS et même le démarrage sans clef.

Ladite clef est d’ailleurs splendide : une assez grosse pièce de métal, relativement lourde (vous ne pourrez pas perdre cette clef dans la rue sans vous en apercevoir), de la forme du logo de la marque.

Ce dernier est inspiré du blason de la famille qui existe depuis le XIIème siècle.

Le bruit du V8 n’a aucun, vraiment aucun rapport avec celui d’un V8 Ferrari par exemple.

Il ne miaule pas, il gronde. Un peu comme un V8 AMG ou un V8 américain, par exemple, mais avec le léger sifflement des turbos, un peu masqués par le grondement.

Et quand ce V8 gronde… Il ne le fait pas pour rien !

Parce que si la boite 7 est douce, ça ne l’empêche pas de passer les rapports à la volée, tandis que le moteur ne s’épuise jamais…

Quelle accélération, ou plutôt quelle poussée !

Sans doute à cause des turbos, le V8 biturbo n’est pas seulement… rempli (le mot est faible).

Il apporte sa dose de sensations, en étant brutal juste ce qu’il faut.

C’est parfait M. von Koenigsegg, parfait  !

A suivre ...

PEUGEOT est à l’offensive !

Le stand de la Marque au dernier Mondial de l’Automobile a créé l’événement, avec sa richesse en nouveautés et en concepts.

Parmi ceux-ci, sa vision de l’avenir des moyens de mobilité personnels, exprimée par le trio Onyx, est récompensée.

Cette vision, autour d’une expérience inédite, constituée d’efficience et de l’association audacieuse de matières, offre au supercar Onyx son premier titre.

Dans le cadre du plus grand salon automobile au monde, le supercar Onyx s’est vu remettre le titre de Best Concept, par le magazine de référence Autoweek.

Il récompense la réflexion engagée sur l’intuitivité et les matériaux.

Au-delà de son esthétique époustouflante, de son moteur V8 hybride Diesel en position centrale arrière, de ses hautes performances, Onyx explore de nouveaux matériaux, bruts, pour aller encore plus loin dans l’efficience.

Reposant sur une structure en carbone extrêmement légère, la carrosserie associe le cuivre au carbone en un contraste spectaculaire.

L’habitacle est lui aussi économe en matière, ne gardant que celle utile à la réalisation des pièces et à leur tenue, au plus près des occupants.

Grâce à Onyx, il est désormais possible de concilier exigences de la clientèle, hautes performances et préservation des ressources naturelles.

Composé de feutre, totalement recyclable, l’habitacle est modelé sans couture ni raccord.

Il crée autour des occupants un véritable cocon qui, enchâssé dans la structure en carbone, remplit les fonctions autrefois assurées par plusieurs pièces : insonorisant, isolant thermique, sol, console haute, pavillon, sièges baquet.

Les occupants font corps avec une pièce homogène, qui permet en plus de réduire la masse.

La planche de bord est réalisée dans un « bois » d’un nouveau type, le Newspaper Wood, produit par recyclage de journaux usagés.

L’illusion est parfaite avec des veines, qui parcourent la surface.

Mais une lecture plus attentive en révèle le secret avec l’apparition de caractères d’imprimerie.

Egalement en feutre, la console comporte une pièce en cristal.

Il s’agit du réservoir, dont le niveau est indiqué sur la face supérieure par de fines ciselures.

Mais il contient également dans une enveloppe interne l’essence de ce supercar, son esprit.

Diffusé dans l’habitacle par les aérateurs, ce parfum restitue l’osmose des matières utilisées.

La planche de bord accueille le combiné en position tête haute.

Sur le contour du combiné, le régime moteur et la vitesse sont indiqués par des pièces métalliques, apparaissant ou disparaissant à la manière des touches d’un piano.

Le fonctionnement de la motorisation hybride est quant à lui indiqué par les écrans numériques.

« Le supercar de PEUGEOT offre quelque chose à chacun : les fans de sport automobile, les amateurs de design, les amoureux d’automobile, les personnes sensibles à l’environnement » a souligné Bob GRITZINGER, Rédacteur en Chef d'Autoweek.