UN ROMANCIER PASSIONNÉ DE POLARS(2)

 

Depuis la semaine dernière, on s’intéresse à un auteur saumurois de roman policier, âgé de 62 ans, natif de NANTES.

A ce propos, le romancier précise : « Je suis pour le rattachement pacifique, et par toutes les voies légales, de ce département à la Bretagne.

Je pense que cela se fera petit à petit, car certains députés (de droite et de gauche) y travaillent déjà. » 

A la grande satisfaction de ses parents, cet élève studieux a eu très vite des dispositions pour l’écriture et un peu plus tard pour les langues étrangères.

Après le BAC et des études de lettres spécialité anglais, il a obtenu le diplôme de « la British Chamber of Commerce » et il nous a expliqué récemment pourquoi il avait souhaite l’obtenir. 

Bertrand GILET : « J'étais étudiant en anglais, mais je ne savais pas vraiment ce que je voulais faire.

En fait, j'ai passé le diplôme de la Chambre de commerce franco-britannique, à NANTES, pour étoffer mes connaissances en anglais commercial, en pensant que cela pouvait toujours servir ! »

TV@ : En plus de l’anglais, pendant combien d’années avez-vous étudié de nombreuses autres langues ?

Bertrand GILET : « J’ai appris le latin: de la 5e à la terminale (ce fut une formidable ouverture d'esprit), mais aussi l’allemand, de la 4e à la terminale, avant l’italien et le grec moderne, pendant deux années en fac de lettres.

J'ai un peu oublié l'allemand, mais je parle couramment italien. 

J’ai découvert également l’espagnol, en l’apprenant avec une méthode (Linguaphone).

Enfin, je connais aussi le breton, grâce à quelques cours suivis en. Faculté de lettres à NANTES.

Sinon parlé, le breton était au moins compris par mon grand-père maternel, qui habitait près de BREST. »

TV@ : A quel moment et pour quelles raisons as-tu voulu devenir journaliste ?

Bertrand GILET : « En fait, c'est une vocation tardive, car je n'avais jamais pensé devenir journaliste.

J'ai commencé des études spécialisées à Strasbourg en 1978. Mon premier stage (Presse-Océan) remonte à 1980, alors que j’avais déjà 29 ans !

Par la suite, je suis resté journaliste pendant vingt-six ans à « La Nouvelle République du Centre Ouest (la N.R).

J’ai beaucoup appris de ce métier, qui est une véritable ouverture sur la vie, les gens et les différents milieux. »

Dans la vidéo ci-dessous, cet ancien journaliste nous indique qu’il fallait savoir tout faire dans ce métier de généraliste.

A suivre …