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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 23:05

Mallakhamb6.jpg

Chaque semaine, certains fidèles lecteurs nous font découvrir des sujets très intéressants, pour lesquels nous ne pouvons malheureusement pas consacrer de reportage.

Voilà pourquoi, on se contente d'en diffuser des extraits audiovisuels, comme ci-dessous. 

Cette fois, il s'agit d'une vidéo filmée lors d'un concours de gymnastique en Inde, animé par de remarquables acrobates qui grimpent et descendent d'un poteau, de manière spectaculaire !   

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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 23:05

GROUPE-MAGENSTRIA.jpg

Depuis 2005 et les premiers balbutiements du groupe Magenstria, l'évolution est radicale !

Sur un rock toujours plus énergique et des textes de plus en  plus engagés, Magenstria garde cependant la même détermination : faire  passer au public un message résolument optimiste.

Même si certaines de leurs chansons peuvent paraître sombres, à la première écoute, elles  traduisent toujours, en réalité, un désir d'avenir meilleur.

Si vous tenez à découvrir le groupe, sous sa véritable identité, c'est sur scène qu'il faut venir le voir !

Existe-t-il un plus beau terrain de jeu pour ces grands enfants ?

Quand la joie rencontre la folie, le résultat est à coup sûr explosif !

Avec plus de 80 concerts à son compteur, Magenstria a eu la chance de  partager la scène et l'affiche avec les :

FATALS PICARDS, ELMER FOOD BEAT,  AS DE TREFLE, PIGALLE, LA RUDA, LES CAMELEONS, MINISTERE MAGOUILLE, RED CARDEL, HK ET LES SALTIMBANKS, SANTA MACAIRO ORKESTAR, KARKWA, READ MY  LIPS, KERLY COCA, RAZTACRETE, ALF ET LES DINDONS, et bien d'autres  encore... 

Magenstria - J'ai voulu (clip officiel) 

 

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13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 23:05

TROUPE-THEATRALE-DU-MARQUIS-CAPRICIEUX.jpg

 

Alors que la troupe théâtrale du "Marquis Capricieux" proposera un dîner spectacle, ce samedi 16 avril, dans le domaine des mésangères, à MEZERAY, dans la Sarthe, nous en profitons pour vous la présenter très succintement.

Créée en 1995, cette troupe de jeunes comédiens amateurs sarthois est particulièrement dynamique, à en juger par les nombreuses représentations qu'elle a déjà assurées dans son département, mais pas seulement.

En effet, le "Marquis Capricieux", de SABLE-SUR-SARTHE (72), qui crée des spectacles patchwork, conjuguant la force comique de la comédie populaire avec les libertés formelles et narratives du théâtre contemporain, a même participé au festival d'AVIGNON, en 2009, en jouant : « L'antimanuel de l'embauche ».

AFFICHE-DU-MARQUIS-CAPRICIEUX-A-AVIGNON.jpgA ce propos, les jeunes comédiens amateurs sarthois se souviennent de cette expérience estivale, qu'ils ont pu vivre grâce au soutien de la municipalité de SABLE-SUR-SARTHE et à "L'Art en Scène Théâtre", qui les a accueillis :

« La parade et la distribution de flyers sont des tâches que le soleil d'Avignon rend parfois bien éprouvantes mais toutes les troupes du off doivent s'en acquitter si elles souhaitent jouer devant un public. Nous faisions deux parades : la première en fin de matinée, la seconde après notre représentation, vers vingt heures. En tout, deux heures de déambulation dans les rues d'Avignon. Au regard de certaines troupes, c'était peu mais pour nous, c'était presque trop ! A la nuit tombée, nous rentrions au camping de Villeneuve, écrasés par la fatigue.»

LA-TROUPE-DU-MARQUIS-CAPRICIEUX-A-AVIGNON.jpgSi vous souhaitez applaudir cette talentueuse troupe théâtrale sarthoise, il vous suffit de lui réserver votre soirée de samedi prochain et profiter ainsi de "Sympathy ", la comédie du metteur en scène local Philippe BARDIN, comprenant trois volets, évoquant trois époques différentes : 1958, 1969 et aujourd’hui.

Trois variations autour d’un même thème : les relations extra conjugales. Dans la première partie, il est question du jardinage et de l’adultère, dans la seconde, de la télévision et de l’amour libre, dans l’épilogue, de l’ordinateur et de l’échangisme.

Les correspondances entre les trois parties sont souvent évidentes, parfois allusives. Rien de schématique, ni de trop symétrique.

A chaque fois, nous retrouvons deux couples vivant dans deux pavillons mitoyens.

L’action se déroule dans les jardins, en été. Le décor et les costumes ont l’aspect lustré et chatoyant des magazines de mode et de décoration.

Dans cet univers aseptisé, se répand une atmosphère sensuelle, d’abord de manière insidieuse puis de manière de plus en plus intense jusqu’à l’asphyxie finale.

AFFICHE-DE-SYMPATHY.jpg

Le désir naît au coeur du quotidien le plus banal : objets, tâches ménagères, conversations de voisinage. Mais à chaque fois, se dressent les convenances et les préjugés. Il faudra les affronter ou les contourner. Et à cet exercice, les femmes se révéleront plus expertes que les hommes.

Peu d’hypocrisie entre les personnages. S’il leur arrive de mentir ou de se mentir, c’est qu’ils ne reconnaissent pas toujours la nature et l’objet de leur désir quand celui-ci survient. Mais, insouciants, ils foncent, quel qu’en soit le prix à payer.

Le dénouement est à chaque fois « dramatique » : dans Sympathy, on meurt beaucoup. Mais la mort reste légère, sans conséquences. Les personnages s’entretuent sans état d’âme. Ils ont recours au meurtre comme une solution commode et rapide pour, dans l’instant, régler un conflit ou dissiper un désagrément. Et puis ce sont des meurtres pour rire : on ne quitte jamais le ton de la comédie.

Ici, pas de psychologie, ni de morale (Nous laissons cela aux spécialistes !). Le spectateur est simplement convié à assister au ballet, tantôt frénétique, tantôt langoureux, des corps qui s’attirent ou se repoussent.

PHOTO-SYMPATHY.jpgSympathy : une comédie affriolante placée sous les signes conjoints de Louis de Funès et de Barbarella, avec Nathalie Rouffignac, Julie Favennec, Romain Breton, le fils de l'humoriste, et Christopher Magiron.

Au programme de la soirée de samedi prochain :  

- Dîner à 19 h 30.

- " Sympathy ", à 21 H 30.

Dîner + théâtre 25 € - Théâtre seul 5 €

Réservations : 02 43 45 84 80

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 23:05

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Depuis un mois, nous consacrons une série d’articles à Bruno BUON, un musicien professionnel sarthois, que nous avons eu la chance de rencontrer par hasard, au mois de septembre dernier, à la maison de retraite « le Béguinage » à LA FLECHE (72), à l’occasion d’un après-midi dansant, réservé aux pensionnaires et à leur famille respective.

Titulaire du bac F11 et du D.E.M,  il est devenu professeur de musique à vingt-deux ans, après avoir effectué son service militaire.

Nous lui avons demandé s’il avait été facile d’enseigner l’accordéon dans la région du nord de la Sarthe, d’où il est originaire ?

BUON Bruno : « Pour l’enseignement de l’accordéon, j’ai enseigné tout d’abord dans plusieurs écoles de SOULIGNE-SOUS-BALLON, MAROLLES-LES-BRAULTS, BONNETABLE, VIVOIN et LA BAZOGE.  J’ai eu jusqu’à soixante élèves par semaine, mais comme les spectacles se sont multipliés, il m’a fallu restreindre mes activités d’enseignant, en me consacrant uniquement aux élèves de l’école de LA BAZOGE (72). »

TV@ : Quels ont été vos débuts de musicien professionnel sur scène ?

BUON Bruno : « Ayant toujours eu un caractère anxieux, je ne parvenais pas à manger avant chaque spectacle, au début de ma carrière. »

TV@ : Quand et comment avez-vous formé votre orchestre de musette et variété, qui porte votre nom ?

BUON Bruno : « Je me suis entouré de musiciens professionnels en 1988, au retour de l’armée. Ainsi, il n’a pas été nécessaire de programmer des séances de répétitions, pour travailler de nouveaux morceaux.  Il a toujours suffit que l’on arrive seulement deux heures avant notre prestation sur scène, pour travailler ensemble les « nouveautés. »

P9100125.JPGTV@ : De quelle manière votre formation musicale a-t-elle évoluée au fil du temps ?

BUON Bruno : « Au début j’ai commencé tout seul, avant de faire appel à deux autres musiciens et aujourd’hui l’orchestre est parfois composé de six musiciens, pour certains galas de musette et variété. »

TV@ : Vous est-il arrivé de participer à d’importants concerts et spectacles ?

BUON Bruno : « De 2005 à 2007, j’ai participé à des  premières parties de spectacles d’André VERCHUREN et de Michel PRUVOT, à MULSANNE (79), devant des centaines de personnes.

En 2008, il y avait même un millier de spectateurs en première partie d’André VERCHUREN à ECOMMOY. L’année suivante, j’ai évolué devant 800 personnes, toujours en première partie d’A. VERCHUREN, mais à MORTAGNE AU PERCHE, où il y avait cette année plusieurs centaines de spectateurs supplémentaires (entre 900 et 1300 personnes). »

Il ne nous reste plus qu’à souhaiter beaucoup de succès à ce musicien professionnel, dont la carrière artistique est bien remplie.

Dans la vidéo ci-dessous, Bruno BUON nous parle des principales satisfactions qu'il a connu au cours de sa carrière d'artiste professionnel. 

 

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31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 14:45

P8010006 retouché

L’automne dernier, nous avons consacré une série de reportages à l’artiste français Alain STEVEZ, que l’on avait rencontré au début du mois d’août précédent, comme sosie de Michel POLANAREFF.

Le 25 novembre 2010, nous vous annoncions qu'il participerait à l'émission « X Factor » sur M6, avec son complice Sébastien RICARD, notamment auteur-compositeur et interprète.  

Mardi dernier, les deux artistes nordistes ont arraché leur qualification, grâce au soutien du public qui contesta tout d’abord l’avis du jury, comme vous avez pu le voir sur le petit écran.

Si vous avez manqué ce rendez-vous, nous vous proposons de regarder les vidéos ci-dessous, qui permettent de constater que « l’orchestre Alan RECORD » méritait effectivement d’être sélectionné, pour le prochain tour de ce célèbre « radio-crochet » télévisuel.

Bravo les amis et bonne chance pour la suite de l'émission !  

 
 
 

 

Si vous ne parvenez pas à visionner ces deux vidéos, en cliquant directement dessus, il vous suffit d'utiliser l'un et l'autre lien, du dernier paragraphe de notre article (rendez-vous et ci-dessous), pour accéder à ces rediffusions télévisuelles.
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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 23:05

P9100130_retouche.JPG

On poursuit notre reportage consacré au talentueux accordéoniste sarthois, qui fut notamment huit fois champion de France, dans sa carrière musicale.

Lors de notre rencontre, du mois de septembre dernier à LA FLECHE (72), nous lui avons demandé combien de temps il lui a fallu pour jouer correctement du synthétiseur, qu’il a appris, en plus de l’accordéon.

BUON Bruno : « J’ai maîtrisé le clavier en deux ans, grâce à l’agilité de mes doigts assouplis d’accordéoniste. »

TV@ : Avez-vous changé plusieurs fois d’instruments, avant de devenir musicien  professionnel ?

BUON Bruno : « Alors que j’ai gardé le même clavier, j’ai changé trois fois d’accordéons, car au début il s’agissait d’instruments d’études, avec une sonorité différente. Par la suite, il fallu investir dans un accordéon professionnel, dit « musette », dont le tarif n’était plus le même ! »

TV@ : Quel budget faut-il prévoir pour investir de nos jours dans un accordéon ou un clavier ?

BUON Bruno : « Pour le clavier, il faut compter au moins 500 €, mais pas moins de 2.000 €, pour un modèle professionnel de marques KORG, ROLAND ou autres.

En ce qui concerne un accordéon, c’est autre chose. Pour un débutant, il faut compter un millier d’euros et dix fois plus pour « un musette professionnel ». Pour les avoir déjà utilisés, mes marques préférées sont : FRATELLI Crosio (qui n’existe malheureusement plus de nos jours, en neuf), PIERMARIA et MAUGEIN, qui est de fabrication française.

TV@ : A quels concours et galas avez-vous participés, en tant qu’élève accordéoniste ?

BUON Bruno : « De 1976 à 1983, on m’a décerné des premiers prix aux concours ACF à Paris, Angers, Alençon, Rennes, Lyon, Le Mans. »

TV@ : A quel moment avez-vous pris conscience que vous ferez une carrière de musicien professionnel ?

BUON Bruno : « Un an après mes débuts d’accordéoniste, j’ai pris conscience de mes prédispositions pour cette pratique musicale, qui devaient me permettre de faire ensuite cette carrière artistique. »

TV@ : Vos parents y étaient-ils plutôt favorables ?

BUON Bruno : « Mes parents souhaitaient que je devienne cuisinier, mais la vie en a décidé autrement et ils ont fini par accepter mon choix. »

On vous invite maintenant à écouter un nouvel extrait de l'interview de cet artiste sarthois, dans la vidéo ci-dessous, lequel nous raconte la principale anecdote de sa carrière.

A suivre …  

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24 mars 2011 4 24 /03 /mars /2011 00:05

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Depuis la semaine dernière, nous faisons la connaissance d’un talentueux musicien sarthois, passionné d’accordéon, qu’il pratique depuis son plus jeune âge.

Après les années « solfège », quel est donc le programme d’une formation d’accordéoniste ?

BUON Bruno : « Au début, le programme est  l’apprentissage du doigté, surtout main droite, sur une base classique, qui nécessite un entraînement quotidien de trente minutes. Au fur et à mesure de l’apprentissage et de l’âge, je suis allé ensuite jusqu’à 5 heures d’accordéon par jour. Le plus difficile était de coordonner les deux mains ; ce n’était vraiment pas évidemment ! ».

TV@ : Quelles sont les écoles d’accordéon les plus réputées dans notre pays ?

BUON Bruno : « Il y a l’école de « la Rhode » en auvergne et celle de Maurice LARCANGE à PARIS. On trouve aussi différents conservatoires de musique, qui se sont ouverts à l’accordéon classique. »

TV@ : Combien d’années ont été nécessaires, pour vous permettre d’interpréter correctement certaines partitions ?

BUON Bruno : « Il m’a fallu au moins deux ans. Par la suite, il m’a fallu préparer des concours et diplômes. Ainsi, de 1976 à 19983, je fus huit fois champion de France d’accordéon, avant de décrocher en 1984 mon bac F 11 de musicologie, à l’école normale de RENNES (35). »

TV@ : Quelles ont été vos premières prestations d’accordéoniste amateur en public ?

BUON Bruno : « Ma première petite scène remonte en 1977. A l’âge de onze ans, je me suis produit en solo, à l’occasion d’une fête de famille.

A cet âge-là, je ne connaissais pas encore le trac et je jouais seulement pendant une heure.

Quatre ans plus tard, j’ai commencé les bals dans ma région, devant un public de 300 à 600 personnes, avec un répertoire de cinq heures sur scène. C’était évidemment toute autre chose et  beaucoup plus fatiguant. »

TV@ : De quelle manière avez-vous commencé au clavier ?

BUON Bruno : « Après l’accordéon, vers les douze ans, j’ai pris également des cours de clavier, avec le même professeur, qui m’a donc initié aux  deux instruments. Il faut bien avouer que lorsque l’on a les bases d’accordéoniste, la pratique du clavier est assez facile à apprendre. »

Dans la vidéo ci-dessous, l'accordéonniste précise qu'il peut jouer seul ou avec son orchestre, pour répondre aux attentes et besoins des organisateurs d'après-midis ou soirées dansantes. 

A suivre …  

 

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 00:05

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Durant quelques semaines, nous allons faire la connaissance d’un talentueux musicien sarthois, de 44 ans, qui habite depuis une douzaine d’années, avec sa petite famille, à SOULIGNE-SOUS-BALLON (72), une commune d’un millier d’habitants.

Cette localité sarthoise est située en région mancelle, dans le canton de BALLON, à proximité de MONTBAZON, d’où il est natif.

Parmi les attraits touristiques des alentours, on se contentera de citer « les Alpes Mancelles », la cathédrale du Mans, le quartier du « Vieux Mans », sans oublier également le château de BALLON,  qui a été une forteresse très importante, durant une grande partie de la période médiévale. Son aspect actuel est caractéristique de la fin du XVe siècle.

Lors de notre rencontre, au mois de septembre dernier, au cours d’un après-midi dansant, à la maison de retraite « Le Béguinage » de LA FLECHE (72), nous avons demandé à cet artiste à quel moment il avait découvert l’accordéon, qui est devenu ensuite son « violon d’Ingres. »

BUON Bruno : « J’ai découvert l’accordéon à l’âge de cinq ans, dans une kermesse où un jeune homme jouait de cet instrument. A ce moment-là, j’ai trouvé sympa de voir ses doigts rebondir sur le clavier de l’accordéon et cela a immédiatement suscité ma curiosité et mon intérêt. »

TV@ : Vous a-t-il été facile de convaincre vos parents, pour apprendre l’accordéon dès votre plus jeune âge ?

BUON Bruno : « J’ai conquis mes parents au bout de six mois, pour pouvoir commencer l’accordéon dès l’âge de six ans, en suivant des cours au MANS. »

TV@ : Avez-vous connu certains moments de découragement, avant de pouvoir maîtriser la technique de l’accordéon ?
BUON Bruno : « Surtout au début, car je pensais que l’étude de l’accordéon était immédiate. Hélas, il fallait passer par le solfège, sans instrument, et là ce fut l’angoisse. J’ai donc commencé à faire ma « forte tête » et six mois plus tard je commençais l’accordéon palier avec le solfège. »

TV@ : Combien de types d’accordéons existent-ils sur le marché ?

BUON Bruno : « Il y a l’accordéon diatonique, instrument petit ou suivant. Il produit deux sonorités, selon que l’on tire ou ramène le soufflet. Enfin, l’Accordéon chromatique, sur lequel je travaille, est plus volumineux et existe en plusieurs versions 48, 60, 80, 96, 120 basses (ce sont le nombre de touches main gauche, appelées basses).

Pour ma part, j’ai commencé sur un « 60 basses »,  puis à 11 ans sur « un 120 » et aujourd’hui sur « un 96 basses musette », donc plus léger. Pour les néophytes,  un modèle « 120 basses » pèse 15 Kg, alors que le poids d’un « 96 basses »  est de 9 kg. »

Au cours de son interview vidéo, cet artiste sarthois nous raconte ses principales rencontres artistiques, comme celle d’André VERCHUREN, qu’il revoit régulièrement.

A suivre …  

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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 00:05
BALLONS.jpg
Nous terminons notre série de reportages avec le clown angevin ZITO, qui nous a confié que « le plus difficile est de fabriquer des numéros, avec textes  et autres  comme au théâtre, car pour lui : « rien ne vaut  l’improvisation ; mais pas tout le temps.
 
Il faut aussi beaucoup travailler pour préparer les numéros de  « magie comique », car je n’ai pas le droit à l’erreur, dans ce domaine. »
 
Lors de son interview, nous lui avons demandé s’il avait été parfois tenté de se consacrer uniquement à la scène, avant de prendre sa retraite.
 
Jackie JAMOIS : « Oh, oui bien sûr ! Mais comme j’avais  acheté une maison  et qu’il  fallait rembourser les  mensualités, je n’avais guère le choix. Il m’aurait été très difficile d’être intermittent à temps  plein, car je ne décroche pas assez  de contrats. »
 
TV@ : Avez-vous fait des rencontres qui ont été importantes, pour votre carrière artistique ?
 
Jackie JAMOIS : « Oui, je pense notamment  à cette rencontre avec un agent  artistique, qui m’a mis un peu sur les rails et m’a trouvé  de bon contrats.
 
Désormais, je travaille  avec plusieurs agences artistique , qui m’emploient pour des  fêtes  de village , (dans la rue , sur scène , en galerie marchande ,   supermarché … ).»
ZITO-VENTRILOQUE-SUR-ECHASSES.jpgTV@ : En plus du maquillage, quels accessoires et artifices utilisez-vous ?  
 
Jackie JAMOIS : « Je me déplace avec des échasses, un  grand –bi, vélo  rigolo avec une roue de 600 à l’avant et une petite roue arrière. J’ai aussi des boites de magie, foulards de magie,  instruments de musique (scie musicale et harmonica). » 
 
TV@ : Impliquez-vous le public adulte en plus des enfants, à certains moments de votre spectacle ?
 
Jackie JAMOIS : « Effectivement, je fais participer  le public, y compris parfois les adultes, pour les ridiculiser  auprès des enfants, qui trouvent  cela très drôle ! »
 
TV@ : Quelles sont les principales anecdotes que vous avez vécues avec ZITO ? 
 
Jackie JAMOIS : « J’ai rencontré le chanteur C’JEROME, lors d’un gala que nous avions fait en Haute –Savoie, sur le car podium de la station radiophonique de R.M.C. Ce fut pour moi une « Super rencontre », car c’était un homme charmant, drôle et gentil ; à tel point que je me sentais bien avec lui. »
 
TV@ : Quels sont vos projets à plus ou moins long terme ?
 
Jackie JAMOIS : «  Je souhaite surtout continuer à faire vivre « ZITO » tant  que ma santé le permettra.» 
 
TV@ : En dehors des activités de clown, avez-vous d’autres passions dans la vie ?
 
Jackie JAMOIS : «  J’adore pratiquer certains sports, comme le golf, le tennis, le foot, lorsque je ne vais pas au cinéma ou au théâtre. »

Dans la vidéo ci-dessous, l’artiste nous raconte qu’il continue à faire le clown en solitaire, tout au long de l’année, mais aussi dans une petite troupe, à l’occasion des arbres de Noël.

 

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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 00:04

LADANSEUSE-CONTORSIONNISTE-AFRICAINE-LUNGA.jpg 

 

Chaque semaine, certains fidèles lecteurs nous font découvrir des personnages talentueux, pour lesquels nous ne pouvons malheureusement pas consacrer de reportage.

Voilà pourquoi, on se contente de diffuser des extraits audiovisuels de ce qu'ils sont capables de faire, comme cette remarquable artiste africaine.

Comme le prouve la vidéo ci-dessous, la talentueuse danseuse LUNGA, de la comédie musicale "Africa-Africa", fait preuve d'une incroyable flexibilité; quelle souplesse ! 

Nous vous invitons donc à la voir se contorsionner en public, en prenant l'allure d'un python.

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