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19 mai 2010 3 19 /05 /mai /2010 23:05

 

A LA BATTERIE DE CUISINE (2)

 

Nous retrouvons avec plaisir le fantaisiste et humoriste angevin Ange Oliver, qui a accepté récemment de nos parler des artistes qu’il préférait, au cours de son enfance et de son adolescence ?

Ange Oliver : « Au risque de vous paraître « ringard », je dirais Henry Salvador, Jerry Lewis, De Funès, Bourvil, Pierre Richard et bien d'autres. »

TV@ : Etant enfant, aviez-vous des prédispositions particulières, pour devenir un artiste ?

Ange Oliver : « Tout petit, il fallait déjà que j'attire l'attention sur moi. Je me déguisais avec les fringues de mes soeurs, je faisais des petits tours de magie et je jouais de l'harmonica. »

TV@ : Quels souvenirs gardez-vous de cette époque-là ?

Ange OLIVER : « La meilleure anecdote dont je me souviens remonte lorsque j'étais chez « les frères », dans une école privée. Un jour, un prof m'a dit : « Tu ferais mieux de travailler un peu plus, car ce n'est pas en faisant le clown que tu gagneras ta vie plus tard. Et pourtant …»

TV@ : Dans quelles circonstances avez-vous commencé à faire le comique et l’imitateur ?

Ange Oliver : « Beaucoup plus tard, car c'était à l'armée. A l'aide de mon béret, j'imitais Bourvil, dés que j'en avais l'occasion. De cette manière, je faisais rire ma chambrée. »

TV@ : Vous souvenez-vous à quel moment vous avez pris conscience que vous aviez vraiment du talent ?

Ange Oliver : « Lorsque je me suis retrouvé à la tête d’une troupe pour monter un spectacle de « variétés comiques », dans laquelle j’étais entré quelques années plus tôt.  Ace moment-là, je me suis dis qu’il se passait quelque chose.»

TV@ : Quel a été votre parcours professionnel, avant de vous produire sur scène ?

Ange Oliver : « A seize ans, je suis entré dans l'imprimerie et je l'ai quitté à quarante-quatre ans, pour devenir intermittent du spectacle ; sachant que j'ai toujours eu une activité artistique en plus de mon travail. »

TV@ : Dans un premier temps, vous avez pu exercer votre métier, tout en faisant parallèlement des spectacles ?

Ange Oliver : « Oui et ce n’était pas toujours évident. Le plus dur était d'avoir la tête à mon travail, quand j'étais en période d'écriture.

Quand l'inspiration est là, il ne faut pas la bouder, sinon elle s'en va et on ne sait jamais  quand elle reviendra.

J'avais du mal aussi le lundi matin, quand il fallait retourner se refondre dans la masse et l'anonymat.

On exerce le métier d’artiste, car on a souvent besoin de reconnaissance et de considération.

Dans l'industrie, ils ont peur de vous en donner, au cas où on demanderait de l'augmentation.

Personnellement, je pense qu’ils n'ont rien compris. »

A suivre …  

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12 mai 2010 3 12 /05 /mai /2010 23:05

  PAYSAGE

 

En raison du jeudi de l'ascension, nous vous proposons un programme « Spécial fête », en attendant de poursuivre le reportage de l'artiste Ange OLIVER, dans une semaine.  

Ce magazine de loisirs en ligne, indépendant et participatif, permet à tous ceux qui le veulent de partager leur(s) passion(s), faire connaître leur (s) talent (s) ou tout simplement devenir acteur de l'information.  

Parmi eux, un rennais vient de nous faire parvenir la vidéo ci-dessous, qui fait réfléchir sur le sens de la vie qu'elle véhicule.  

Voilà donc un document de qualité, qui nous offre un agréable moment de détente.   Profitez-en et n'hésitez surtout pas à en informer vos divers correspondants internautes.

Attention : Même si les chansons et les images sont excellentes, focalisez vous surtout sur les paroles écrites, sinon vos risquez de perdre le fil, comme le précise l'un des commentaires, figurant sur You Tube. 

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5 mai 2010 3 05 /05 /mai /2010 23:00
AFFICHE

 

 

 Parmi les artistes angevins, nous avons eu la chance de faire la connaissance du fantaisiste et humoriste Didier CHAUVAT, qui demeure à ST-MARTIN DU FOUILLOUX.

Il est évidemment plus connu sous le pseudonyme d’Ange Oliver, un subtil jeu de mots qui lui est venu en sortant de sa voiture, comme il nous l’a précisé au cours de sa récente interview.

Ange Oliver : « Cela faisait longtemps que je cherchais un nom d'artiste. Un matin, en sortant de ma voiture, j'ai eu un flash en regardant ma roue avant gauche. J'ai tout de suite fait le jeu de mots et c’est ainsi qu’est né Ange Oliver.

A cette époque-là,  ma femme Anita jouait à l'époque avec moi. Ainsi elle est devenue Ange et moi Oliver. »

TV@ : Vous avez donc commencé à faire du spectacle avec votre épouse ?

Ange Oliver : « Oui, pendant quelques années, nous avons été complices sur scène, pendant sept ou huit ans. Je ne sais plus vraiment, car quand on aime, on ne compte pas.

Elle était un peu la  Sophie DAUMIER de Guy BEDOS. Pour faire bref, elle faisait un peu la « nunuche ».

Puis, elle s’est consacrée à la technique son et lumière, lorsque je suis devenu intermittent du spectacle.»

TV@ : Pourquoi n’a-t-elle pas voulu continuer à évoluer avec vous sur scène ?

Ange Oliver : « Quand je suis devenu intermittent, je suis passé à la vitesse supérieure. Je ne jouais plus dans la même cour. Il fallait être disponible tous les week-ends, mais aussi la semaine. A ce moment-là, elle n'a pas voulu me freiner dans mon élan. »

TV@ : Dans quel milieu familial avez-vous vécu, durant toute votre enfance ?

Ange Oliver : « Dans une famille modeste, mais je n'ai jamais manqué de rien.

Mon père travaillait dans l'audiovisuel et de ce fait nous étions une des rares familles du quartier à posséder une télévision.

Le samedi soir, les voisins venaient à la maison pour regarder les variétés.

Mon père «était un passionné de modélisme. Vous imaginez le bonheur pour un petit garçon d'avoir un papa qui fait voler des avions et naviguer des petits bateaux !

J'ai d’ailleurs adoré le film « Le Petit Nicolas », car je m'y suis retrouvé. Sauf que dans le film les parents ne divorcent pas. Or, la situation a été différente à la maison, puisque mon père est parti, alors que j’avais seulement quatorze ans. »

TV@ : Vos parents avaient-ils aussi le sens de l’animation et du spectacle ?

Ange Oliver : « Oui, mon père aimait beaucoup la musique et il avait plein de copains musiciens. Il avait aussi un don pour raconter les histoires drôles. »

Dans la vidéo ci-dessous, l’artiste évoque l’évolution de son spectacle, depuis ses débuts sur scène.

A suivre …  

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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 23:05

PLAN AMERICAIN DEVANT LA BIBLIOTHEQUE (6)

 

Nous arrivons au terme de cette série d’articles, qui nous a permis de faire plus ample connaissance avec un écrivain angevin, déjà auteur de trois publications.

Avant de tourner la page et le laisser vivre sa passion pour la littérature, nous avons voulu savoir quels étaient ses ambitions et  projets à plus ou moins long terme ?

Marc LEFRANCOIS : « J’envisage de travailler sur des romans beaucoup plus ambitieux. Je pense aussi à la possibilité d’adaptation au cinéma. J’ai pour cela quelques projets très intéressants… »

TV@ : En dehors de la littérature, avez-vous d’autres passions ?

Marc LEFRANCOIS : « J’aime beaucoup la culture japonaise. Je m’intéresse aussi énormément à la peinture et à l’art en général. »

TV@ : Quelles sont vos autres loisirs préférés ?

Marc LEFRANCOIS : « Le sport, le cinéma et les musées.

C’est un peu conventionnel, mais je dois dire que mon loisir préféré reste quand même la lecture, qui me prend une grande partie de mon temps. »

TV@ : Avant de nous quitter, acceptez-vous de nous présenter votre blog, qui nous a permis de vous connaître ?

Marc LEFRANCOIS : « Oui, bien sûr, puisque je l’ai créé il y a un peu plus d’un an.

C’est  le « Journal d’un écrivain ».

Le but n’était pas d’en faire un blog littéraire, dans le sens où il serait question essentiellement de livres et de critiques littéraires, mais quelque chose de plus général.

Disons qu’il s’agit d’un espace de communication se situant entre le journal intime, le blog culturel et un lieu d’échanges autour de propos, aussi bien légers et sans intérêt,  que plus réfléchis ou plus littéraires.

C’est aussi une façon pour moi de faire connaître ce que je fais, d’échanger avec d’autres écrivains et de partager avec d’autres amoureux de la littérature… »

Si vous souhaitez maintenant découvrir l’univers de notre interlocuteur, il vous suffit de cliquer ici.  

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22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 00:22

 

FACE A LA BIBLIOTHEQUE (5)

 

Nous poursuivons notre reportage, consacré à un écrivain angevin, qui vit pleinement de sa passion pour l’écriture et la langue française.

Au cours de l’entretien, qu’il a accepté de nous accorder au début de cette année 2010, il nous a confié qu’il servait aussi de nègre littéraire pour d’autres personnes.

Marc LEFRANCOIS : « J’aide les gens à écrire leurs romans ou leur biographie.

Actuellement je travaille sur l’écriture d’une saga d’industrielle qui devrait sortir en septembre prochain. »

TV@ : N’est-ce pas un rôle ingrat d’écrire ainsi pour les autres, en restant dans l’ombre ?

Marc LEFRANCOIS : « Si et c’est la raison pour laquelle je vais bientôt arrêter cette branche de mon activité littéraire.

Mais c’est quelque chose de particulièrement utile à celui qui commence dans l’écriture et souhaite en vivre.

Après, la notoriété et les droits d’auteur permettent de s’affranchir de cela.

Néanmoins il y a un aspect de cette activité qui n’est pas à négliger : la formation du style. C’est parfois un vrai défi littéraire que de travailler sur une commande et de rendre intéressante une histoire qui ne l’est pas forcément… »

TV@ : Quel est votre meilleurs souvenir d’homme de lettres ?

Marc LEFRANCOIS : « C’est ma première dédicace. Il s’agit toujours d’un moment émouvant lorsque l’on rencontre notre public, même si au tout début il est essentiellement constitué de la famille et des amis ! »

TV@ : Avez-vous parfois rencontré quelques déceptions, au cours de votre carrière d’écrivain ?

Marc LEFRANCOIS : « En fait, la carrière d’écrivain s’apparente à un vrai parcours du combattant, donc les déceptions ne manquent pas.

Cela commence avec l’écriture, lorsqu’on se rencontre que le résultat final n’est pas à la hauteur de ses attentes.

Puis avec les maisons d’édition dont vous devez essuyer les refus quelque peu impersonnels.

Ensuite, ce sont les médias dont il faut attirer l’attention.

Cependant, ma plus cruelle déception vient d’un libraire dont j’étais un très bon client et qui, à partir du moment où je lui demandais de mettre mon livre en avant, m’a opposé une fin de non recevoir assez froide et hautaine… »  

A suivre …  

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 23:05

 

DEVANT SON PC (4)
Nous continuons notre série d’articles, concernant un écrivain angevin qui vit désormais de sa plume, après avoir été enseignant.

Dispose t’il pour autant d’une bibliothèque importante à son domicile ?

Marc LEFRANCOIS : « Oui ! On peut même dire que mes livres ont véritablement colonisés mon appartement, au point qu’ils s’empilent maintenant à même le sol.

Je dois avoir 4 ou 5000 livres, mais je n’ai jamais eu le courage de les compter. »

TV@ : Quel a été votre premier ouvrage publié ?

Marc LEFRANCOIS : « Un recueil de nouvelles historiques sur ma ville :  Angers au fil de la Maine et du temps, aux éditions Petit Pavé ».

TV@ : Etes-vous encore enseignant ?

Marc LEFRANCOIS : « Non, je me consacre désormais entièrement à l’écriture. »

TV@ : Combien d’ouvrages avez-vous publiés, ces dernières années ?

Marc LEFRANCOIS : « J’en ai publié trois, sous mon nom, et quelques autres sous pseudo ou en tant que nègre littéraire. »

TV@ : Parmi ces trois publications, laquelle vous a demandé plus de recherches et d’écriture ?

Marc LEFRANCOIS : « Le dernier ouvrage : « La vie sexuelle des grands écrivains » (éditions La part commune). Il est très documenté, mais la difficulté résidait justement à en rendre la lecture très facile et à ne pas en faire un ouvrage de type universitaire. »

TV@ : Avez-vous des moments de prédilection pour trouver plus facilement de l’inspiration ?

Marc LEFRANCOIS : « Oui, la nuit, quand tout est calme autour de moi. »

TV@ : Quelle méthode utilisez-vous généralement pour trouver les thèmes de vos livres ?

Marc LEFRANCOIS : « Je n’ai pas vraiment de méthode particulière. En fait, ils s’imposent d’eux-mêmes. L’idée vient au moment où je ne la cherche pas.

Après, cela ne veut pas dire qu’elle est forcément bonne. Il faut faire une sacrée sélection avant de commencer à travailler réellement sur un projet. »

TV@ : Utilisez-vous encore un pseudo pour signer vos oeuvres ?

Marc LEFRANCOIS : «  J’écris parfois sous un  pseudo, mais ce genre d’activité va tendre à disparaître, puisque je dois maintenant me faire connaître d’un plus grand public. »  

A suivre ...  

 

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7 avril 2010 3 07 /04 /avril /2010 23:00

AU TELEPHONE (2)
C’est avec plaisir que nous retrouvons aujourd’hui notre lecteur angevin, qui est écrivain depuis plusieurs années déjà.

Lors de son interview, du mois de janvier dernier, il nous a présenté succinctement son premier ouvrage, qui n’a jamais été publié ?

Marc LEFRANCOIS : «  Rencontre du quatrième type » fut mon premier vrai roman. HEMINGWAY disait qu’un jeune écrivain doit mettre à la poubelle ses quatre ou cinq premiers manuscrits.

Je n’ai pas hésité à suivre son conseil pour ce roman, qui sentait trop l’ancien chercheur en lettres modernes. Cela prend quand même un peu de temps d’oublier le style universitaire… »

TV@ : Avez-vous fait des rencontres qui ont influencé le déroulement de votre carrière littéraire ?

Marc LEFRANCOIS : «  Oui, je me souviens de Michel TOURNIER, rencontré lors d’un colloque.

Ce qui m’avait frappé, c’était qu’on partageait le même amour de la lecture et qu’on avait lu tous les deux les mêmes livres dans notre enfance.

On a eu une discussion très intéressante, d’ailleurs sans doute plus pour moi que pour lui, et j’ai pu avoir ainsi quelques bons conseils et des encouragements précieux. »

TV@ : Quels sont  devenus vos auteurs préférés ?

Marc LEFRANCOIS : «  L’écrivain que j’admire par-dessus tout, c’est bien sûr Marcel PROUST. Etrangement, je l’ai découvert assez tard. Sans doute à cause des préjugés concernant son style.

Mais j’ai découvert un auteur au génie incomparable, avec un humour d’une incroyable finesse, un style clair et raffiné, une culture merveilleuse.

Vient ensuite BALZAC qui a enchanté mon enfance et continu toujours à me ravir.

Il incarne l’idée parfaite du grand écrivain.

Et puis viennent STENDHAL, FLAUBERT, MAUPASSANT…

Mais ils sont trop nombreux pour que je les évoque tous.

Pour les auteurs étrangers, j’aime beaucoup Stefan ZWEIG, Hermann HESS, Thomas MANN, Knut HAMSUN, Tanizaki JUNICHIRO, Mircea ELIADE… »

TV@ : Cherchez-vous à vous en inspirer et à prendre même parfois leur style ?

Marc LEFRANCOIS : «  Non, surtout pas ! Ce serait vraiment déprimant. Virginia WOOLF avait tenté de se suicider, suite à la prise de conscience désespérante qu’elle n’atteindrait jamais le génie de PROUST.

On peut admirer les grands écrivains, y trouver une certaine inspiration, une certaine force pour sa propre création, mais il ne faut surtout pas chercher à les copier.

Disons plutôt qu’ils doivent nous servir de tremplin pour qu’on puisse s’éveiller au sentiment de notre propre originalité. »

A suivre …

 

 

 

 

 

 

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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 23:05

  DEVANT LA BIBLIOTHEQUE (3)
Depuis la semaine dernière, nous consacrons un reportage à un écrivain angevin de 36 ans, dont la passion pour l’écriture et la lecture remonte à l’enfance.

Etait-il alors meilleur en littérature que ses petits camarades de classes ?

Marc LEFRANCOIS : «  Oui et je misais d’ailleurs tout sur mes notes en français !

Seulement parfois il m’arrivait de rendre des copies un peu trop longues… »

TV@ : Quelle a été votre scolarité ?

Marc LEFRANCOIS : « Classique, en suivant la filière générale jusqu’au bac « lettres et math ».

D’ailleurs je crois pouvoir dire que j’ai surtout eu mon examen grâce au français et à la philo. L’orientation vers des études de lettres modernes a donc été toute naturelle. »

TV@ : Pourquoi n’avez-vous pas écrit votre thèse en doctorat ?

Marc LEFRANCOIS : «  J’ai pris conscience, certes un peu tardivement, que je n’étais pas fait pour une carrière universitaire. Cependant, je caresse vaguement l’idée de soutenir un jour ma thèse : « Réception de la littérature française au Japon ».

TV@ : Cela n’a-t-il pas nui ensuite à votre carrière d’enseignant ?

Marc LEFRANCOIS : «  Non, car je n’ai pas vraiment cherché à avoir ce genre de carrière et c’est la raison pour laquelle je n’ai pas passé les concours de l’enseignement. Je savais déjà que la seule chose qui m’intéressait était de vivre pleinement ma passion et de ma plume. »

TV@ : Quels sont les différents postes de professeur que vous avez occupés, avant de devenir écrivain ?

Marc LEFRANCOIS : «  J’étais enseignant vacataire pour l’éducation nationale, faisant des remplacements en collège et lycée. J’ai aussi enseigné à la Chambre de commerce d’Angers, ainsi qu’à la chambre des métiers. Je donnais des cours de français mais aussi d’histoire-géographie. »

TV@ : Quel regard portez-vous sur l’Education Nationale et la fonction d’enseignant en 2010 ?

Marc LEFRANCOIS : « Désastreux ! J’ai été affligé de voir l’abime qui s’était creusé depuis ma génération. Je ne parle pas forcément du niveau scolaire mais plutôt du comportement des élèves mais aussi de leurs parents. »  

TV@ : A quel moment avez-vous pris conscience de votre talent d’homme de lettres ?

Marc LEFRANCOIS : «  Lors de mon service militaire, au cours duquel j’ai gagné un nombre incroyable de barres céréales, à écrire les lettres d’amour que mes camarades me demandaient pour leurs petites copines (rire ! )»

A suivre …  

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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 23:00



La vidéo donne  ci-dessous la démonstration de la Jeune Kseniya Simonova lors de la finale "Tu as du talent" en Ukraine. 

Elle est arrivée à faire pleurer le jury lors de cette finale, où  elle représentait une scène de l'invasion allemande d'Ukraine, durant la seconde guerre mondiale, en utilisant uniquement ses doigts, sur une superficie de sable.

C'est tout simplement extraordinaire... bravo l'artiste !!!

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25 mars 2010 4 25 /03 /mars /2010 00:05

 

PORTRAIT (1)

 

A la fin de l’année dernière, quelques clics, effectués avec ma souris d’ordinateur, ont suffi pour me faire découvrir le journal d’un écrivain angevin.

Cela m’a tout de suite donné envie d’en savoir davantage sur ce passionné de littérature, auteur de trois publications signées Marc LEFRANCOIS.

A travers les quelques articles que nous allons lui consacrer, nous allons donc faire sa connaissance.

C’est avec gentillesse que notre interlocuteur a tout d’abord accepté de se présenter :

Marc LEFRANCOIS : «  J’ai 36 ans, j’habite Angers et suis célibataire sans enfant. »

TV@ : Avez-vous toujours vécu en Anjou ?

Marc LEFRANCOIS : « Oui, c’est une région à laquelle je suis très attaché. »

TV@ : Dans quel milieu familial avait vous été éduqué ?

Marc LEFRANCOIS : « Classe moyenne, mon père était officier dans la marine marchande. »

TV@ : Parmi vos plus proches parents, y avait-il au moins une personne qui était passionnée de littérature ?

Marc LEFRANCOIS : «  Oui, ma mère et je me souviens avoir beaucoup pioché dans sa bibliothèque. »

TV@ : A quand remonte votre intérêt pour l’écriture et la lecture ?

Marc LEFRANCOIS : «  Depuis ma plus tendre enfance, je suis passionné d’écriture et de lecture. »

TV@ : Quels ont été vos premiers auteurs et livres préférés ?

Marc LEFRANCOIS : «  Naturellement, comme beaucoup d’enfants, j’ai commencé avec les romans d’aventure et Jules Vernes était mon auteur préféré.

Puis il y a eu Jack LONDON, Alexandre DUMAS et un certain nombre d’autres auteurs. Je suis ensuite passé aux romans policiers (avec Agatha Christie) puis aux romans français (BALZAC, STENDHAL, FLAUBERT…).

TV@ : Vous souvenez-vous encore des circonstances ou des raisons qui vous faisaient aimer ces écrivains ?

Marc LEFRANCOIS : «  Oui, j’étais plutôt solitaire et je me souviens de ces heures heureuses passées à lire dans ma chambre, au CDI… ou en cours d’anglais, bien caché au fond de la classe ! »

A suivre …  

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