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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 00:05

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  Ch. DELBROUCK et l'orchestre Mimorias en août 2013

 

On se retrouve à nouveau en compagnie de l’artiste et enseignant poitevin Christophe DELBROUCK, que nous avons découvert l’été dernier, aux caves « Gratien & Meyer » de SAUMUR (49), avec son groupe « Minorias » qu’il nous a présenté.

Christophe DELBROUCK : « J'ai créé Minorias en 2010 à POITIERS (86), avec le souhait de présenter une musique brésilienne différente de ce que les gens connaissent.

Il ne s'agit pas seulement de « bosse nova » traditionnelle, mais de jazz samba, une musique lancée dans les années 1970, lorsque les musiciens brésiliens, installés en Europe pour fuir la dictature du gouvernement, se sont trouvés confrontés au jazz à l'européenne.

Nous avons eu la chance de nous produire dans plusieurs festivals, notamment en première partie d'Eric LEGNINI et de Stacey KENT.

Ce que j’aime avec ce groupe, c’est qu’on adore le répertoire, les uns comme les autres.

Même en répétition ça peut devenir brûlant…  Il y a une urgence qu'on ne retrouve pas ailleurs. »

TV@ : Quels sont les éléments qui composent le groupe « Minorias » ?

Christophe DELBROUCK : « Caroline MONAMY chante dans plusieurs groupes de musiques traditionnelles latines.

Elle est l'une des rares chanteuses de la région à pouvoir s'exprimer en portugais.

Bruno DURAND est un pianiste de jazz, ancré dans la tradition modale des seventies.

Jérémy BAYSSE est plutôt un guitariste de jazz actuel, mais il s'est mis à la guitare acoustique pour ce groupe.

Yann GILET est le batteur/percussionniste spécialiste de la musique brésilienne à Poitiers.

Il est d'ailleurs allé là-bas, en Amérique du Sud, pour apprendre. »

TV@ : Quel est le répertoire de votre groupe ?

Christophe DELBROUCK : « Il y a une quinzaine de titres et beaucoup de choses très rares comme ‘’O Povo Das Estrelas’’ que j’ai découverte grâce aux « Etoiles », un duo parisien des années 1980.

La moitié de notre répertoire n’est pas dans le commerce. »

Dans son interview vidéo, l’artiste nous parle de ses références stylistiques.

A suivre …

 
 

 

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21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 00:05

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Depuis un mois, on s’intéresse à l’artiste poitevin Christophe DELBROUCK, découvert lors d’un « Apéritif-Concert » intitulé « Jazzbulles », proposé l’été dernier aux caves « Gratien & Meyer » de SAUMUR (49).

En plus d’être musicien, l’artiste est également … écrivain.

Christophe DELBROUCK : « Plutôt cinéphile passionné, je me suis mis à écrire sur la musique, parce que j’en ressentais le besoin.

En 1994, j’ai publié un premier livre sur ZAPPA.

Comme cela marchait, j’ai continué avec des recueils de nouvelles, une bio sur SANTANA, Weather Report, les Who, Crosby, Stills & Nash, et encore d’autres bouquins sur ZAPPA, dont une trilogie…

Evidemment tout ça m’a permis de devenir conférencier et de bosser comme journaliste. »

TV@ : Quels sont les thèmes des conférences que vous animez ?

Christophe DELBROUCK : « En conférence, je n’ai pas de thèmes particuliers. Tout ce qui touche au rock est possible. Bien sûr, quand j’ai un bouquin dans le commerce, je suis un peu obligé d’en parler. »

TV@ : Dans quelles conditions enseignez-vous au Conservatoire de POITIERS (86) ?

Christophe DELBROUCK : « Je m’occupe des élèves qui passent le diplôme C.E.P.I. C’est une filière qui doit les mener vers une carrière professionnelle.

On bosse sur l’histoire de la musique, le jeu, l’improvisation, les galères administratives…

C’est assez vaste ! »

TV@ : Vous proposez également des cours individuels à domicile ?

Christophe DELBROUCK : « Oui je donne des cours de guitare basse à POITIERS.

Ce sont des cours individuels traditionnels, ouverts aux débutants et aux bassistes plus aguerris, mais qui souhaitent se perfectionner.

Je fais en sorte que tout le monde soit capable de jouer dans des styles très divers. »

En vidéo, l’artiste nous confie ses meilleurs souvenirs sur scène.

A suivre …

 

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 00:05

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Nous poursuivons notre reportage, consacré au poitevin Christophe DELBROUCK, auteur-compositeur et interprète, que nous avons découvert, avec son groupe « Minorias », qui se produisait l’été dernier aux caves « Gratien & Meyer » de SAUMUR, dans le Maine-et-Loire.

Après l’« Apéritif-Concert » estival, intitulé «Jazzbulles», nous avons demandé à ce bassiste de nous dévoiler son parcours artistique et professionnel.

Christophe DELBROUCK : « J’ai suivi un cursus semi-professionnel.

Des cours, des ateliers, du solfège à Syrinx, une école de musique à POITIERS (86).

Ensuite j’ai joué avec tous les groupes possibles, de bals, funk, jazz,  jazz rock, reggae, rock …

Après je suis « monté » à PARIS.

J’ai créé là-bas « Tudo bem » et le « Golden Poodle Orchestra », qui s’est transformé, deux ans plus tard, en « Nasal Retentive Orchestra », à mon retour à POITIERS.

J’ai recruté des gars qui n’étaient pas encore dans l’O.N.J.

Avec ce groupe, j’ai fait  notamment dix années de « gigs » et six albums… »

TV@ : Comment êtes-vous devenu fondateur de « Tudo Bem », du « Golden Poodle  Quintet » et du « Nasal Retentive Orchestra » ?

Christophe DELBROUCK : « Je n’ai plus aucune date en tête, mais « Tudo Bem » ce devait être en 1995.

Le « truc » était de se faire plaisir et de jouer des titres brésiliens plus modernes que ‘’Girl From Ipanema’’.

J’avais tout un stock de disques de Tania MARIA, Marcia MARIA, DJAVAN.

On a puisé là-dedans, pour définir nos répertoires.

En 1997, j’ai créé le « Golden Poodle », avant le « Nasal Retentive ».

Dans les deux cas, c’était une relecture de Frank ZAPPA. »

TV@ : Dans quelles premières parties de spectacle avez-vous participées ?

Christophe DELBROUCK : « Il y en a beaucoup, d’autant que j’ai aimé jouer dans plein de petits groupes.

Mais quand j’ai créé le « Nasal Retentive Orchestra », ça a été galvanisant.

On a fait de très bonnes dates et  croisé des « mecs », comme Andy EMLER, Pierrejean GAUCHER, des américains comme Jimmy carl BLACK, Don PRESTON…

J’ai écrit un opéra pour le groupe et on l’a joué, alors qu’aucun d’entre nous n’était comédien. »

Au cours de son interview audiovisuelle, nous avons demandé à l’artiste comment il se définissait, en raison de ses multiples talents. 

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 00:05

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Depuis la semaine dernière, cette rubrique est consacrée à l’artiste poitevin Christophe DELBROUCK, que nous avons eu la chance de rencontrer l’été dernier, lors d’un « Apéritif-Concert » intitulé «Jazzbulles», proposé aux caves « Gratien & Meyer » de SAUMUR (49).

En dehors de la musique, ce talentueux bassiste se souvient de son sport favori, qu’il  pratiquait étant jeune.

Christophe DELBROUCK : « Le tennis ! Je rejouais les finales de Roland Garros contre le mur, en me mettant dans la peau de mes idoles McEnroe, Edberg…

Aujourd’hui, je suis 30/4 et j’ai mal au dos, dès que je frappe un service. »

TV@ : Vous rappelez-vous de vos débuts artistiques en public ?

Christophe DELBROUCK : « Ah  les débuts, c’était sur ‘’All Of Me’’*; une chanson populaire et un standard de jazz écrit par Gerald MARKS et Seymour SIMONS, en 1931.

J’ai raté le départ et n’ai pas mis une mesure en place…

Je pense que les gars m’en veulent toujours aujourd’hui.

J’aurais dû m’enfuir en Sibérie, mais à l’époque je n’avais aucune fierté.

Ah oui, et puis pour clore ce brillant naufrage, je leur ai joué ‘’Footprints’’ en cinq temps. »

TV@ : Avez-vous toujours été bassiste ?

Christophe DELBROUCK : « Tout à fait, depuis l’âge de 17 ans.

Mais, j’évite toujours d’avoir à jouer ‘’All Of Me’’ (Rire !) ». 

TV@ : Pourquoi avoir préféré la guitare basse à un autre instrument de musique ?

Christophe DELBROUCK : « J’avais déjà essayé de gratouiller une guitare, mais cela  me semblait très compliqué.

Alors je me suis dis qu’un « truc », avec seulement quatre cordes, devait être plus facile, à pratiquer.

Pour mon premier cours, le « prof » m’a demandé si j’étais sûr d’avoir fait le bon choix et il m’a fait écouter quelques killers de l’époque : PASTORIUS, Bunny BRUNEL, Jeff BERLIN… »

Dans la vidéo ci-dessous, l’artiste nous présente son titre préféré, dont il est auteur-compositeur et interprète.

A suivre …

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 00:05

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C’est au cours d’un « Apéritif-Concert » intitulé « Jazzbulles », proposé l’été dernier aux caves « Gratien & Meyer » de SAUMUR, dans le Maine-et-Loire, que nous avons fait la connaissance de l’artiste et enseignant poitevin Christophe DELBROUCK.

Né à BREST, le 17 novembre 1966, Ch. DELBROUCK a vécu en Bretagne, avant d’aller  à POITIERS, dans la Vienne, et à PARIS (75).

Célibataire, il est actuellement professeur au Conservatoire de POITIERS (86).

Depuis vingt ans, il poursuit une carrière d’écrivain et de musicien.

TV@ : Combien d’années avez-vous vécu à BREST ?

Christophe DELBROUCK : « J’y suis resté jusqu’à l’âge de 10 ou 11 ans. Ensuite  ma mère s’est installée à POITIERS. »

TV@ : Y avait-il des artistes dans votre famille.

Christophe DELBROUCK : « Mes parents étaient danseurs. Mon père était à ce moment-là  à l’Opéra de PARIS.

Il y a avait donc essentiellement de la musique classique à la maison. »

TV@ : Comment s’est déroulée votre scolarité ?

Christophe DELBROUCK : « Pas très bien, même si j’aimais l’histoire.

Mais c’était à peu près tout !

Je suis parti au milieu de ma seconde, pour faire de la musique.

Je trimballais déjà à l’école un magnétophone et un stock de cassettes, dont l’interminable ‘’Woodstock’’. »

TV@ : Quels étaient vos artistes préférés, au cours de votre enfance et adolescence ? 

Christophe DELBROUCK : « En 1976, mon premier choc concernant la pop fut Elton JOHN.

Alors que j’avais neuf ans, j’étais fan de ‘’Bennie & The Jets’’.

Après cela, tout le reste a suivi très vite : Janis Joplin, Hendrix, Pink Floyd, etc.

A l’âge de quinze ans, mon second choc a été ‘’Uncle Meat’’ de Frank ZAPPA.

Deux ans plus tard, ce fut la découverte du ‘’Word of Mouth’’  de Jaco PASTORIUS… »

Lors de son interview audiovisuelle, il nous a raconté à quel moment il s’est intéressé à la musique.

 

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23 octobre 2013 3 23 /10 /octobre /2013 23:05

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Nous terminons le reportage, qui nous a permis de vous présenter la jeune accordéoniste Paméla SOURIAU, originaire de MONTRICHARD, dans l’Indre-et-Loire.

La semaine dernière, nous vous avions indiqué qu’elle avait « décroché » le bac S et on a voulu savoir ce qu’elle faisait depuis sa dernière année de lycée.

Paméla SOURIAU : « Titulaire de ce diplôme depuis l’année dernière, je ne me sens pas assez sur de moi pour faire carrière dans la musique.

Je me suis donc dirigée vers une filière littéraire la L.E.A, pensant m’assurer ainsi un avenir professionnel. Trop commerciale, cette filière ne m’a pas convaincue.

En parallèle, j’ai participé à l’enregistrement de « 1, 2, 3 musette ! », créé par Jérôme RICHARD ; un DVD de l’émission a d’ailleurs été mis en vente.

J’ai également participé au concours des « nuitées vagabondes » à LANGEAIS (37), consacré aux auteurs compositeurs et interprètes.

Dès lors que l’on compose, écrit et chante, on peut s’inscrire au concours organisé par Alain CROIX et Jean-Yves ROUSSEAU.

Il suffit d’envoyer une maquette de nos chansons, puis ils en sélectionnent 12, puis 10.

Le jour J, les candidats chantent leurs compositions devant un jury composé de dix personnes dont :

- Yves GILBERT, pianiste de Serge LAMA,

- le batteur de Ben l’Oncle Soul Loïc GERARD,

- le musicien Fabien TESSIER,

- le luthier Didier DUPONT,

- la déléguée régionale de la S.A.C.E.M,

- Lorène MOREAU, le maire de LANGEAIS,

- Pierre-Alain ROIRON, la conseillère municipale déléguée,

- Hédia GHANAY, l’adjointe au maire de LANGEAIS,

- Danièle LEITE, le responsable du comité d’entreprise d’E.R.D.F,

- Frédéric CHATELAIN,

- et Stéphane BALIN, le proriétaire du château de JALLANGES.

Je précise que les parrains des « Nuitées vagabondes » sont l’auteur Claude LEMESLE, le pianiste Yves GILBERT, le chansonnier Pierre DOUGLAS, le compositeur Pierre PORTE, et Nello.

Le jury très hésitant ne m’aura finalement pas primée, mais j’ai obtenu le 1er prix du public, ce qui est une belle récompense.

Il y a quelques semaines, j’ai été invitée au 18ème Festival de LESTERP, en Charente- Limousin, au cours duquel j’ai remplacé « au pied levé » Sébastien FARGE, qui devait faire un concert à l’église, avant de se désister.

Cela m’a permis de remporter un franc succès et de vivre une belle expérience.

Le deuxième jour fut consacré au Festival. »

A la fin de son interview vidéo, l’artiste nous a parlé de ses projets.

 
 

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 23:05

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Nous poursuivons notre reportage, consacré à la jeune accordéoniste Paméla SOURIAU, rencontrée en septembre dernier, à l’occasion du 17ème festival « "ACCOR-DOUE-ON" », de DOUE-LA-FONTAINE, dans le Maine-et-Loire.

A onze ans, l’enfant de MONTRICHARD (37) est entrée au collège, tout en continuant à pratiquer l’accordéon, son instrument de musique préféré.

Son parcours scolaire a été une réussite, tout en suivant les cours de Frédéric DESCHAMPS, pendant deux ans.

En parallèle, Paméla a participé aussi à quelques concours A.C.F, qui lui ont permis de se distinguer :

- 1er prix en catégorie « Super moyenne Danse » à DAMIGNY (61), PARIS, lors des finales, DIJON (21),

- 1er prix en catégorie « Super moyenne Genre » à ST-BRIEUC (22).

A quel moment a-t-elle fait ses débuts sur scène, en dehors de ces compétitions ?

Paméla SOURIAU : « En 2008, j’ai fait un concert dans l’église de COULANGES (41) avec un grand accordéoniste roumain Emy DRAGOI, ainsi que Jean FONTAINE, Isabelle DURAND, professeur au conservatoire de PARIS, et Jean DEMEAUX.

Pour diverses raisons, j’ai cessé ensuite les concours et les cours avec Frédéric DESCHAMPS.

J’ai voulu continuer avec un enseignant plus proche de chez moi, mais je n’ai jamais retrouvé un professeur à la hauteur de ce dernier.

Pendant deux ans, j’ai changé successivement de professeurs, mais n’en ayant pas trouvé un « bon », je me suis résolue à continuer l’accordéon en solo. »

TV@ : Qu’avez-vous fait après le collège ?

Paméla SOURIAU : « A l’âge de seize ans, je suis entrée au lycée, tout en suivant des cours d’accordéon avec Luigi PIAZZON, de ST AVERTIN (37), qui fait partie du « Quatuor Chevalier ».

J’ai suivi ses cours pendant une année environ, puis j’ai décidé d’arrêter parce que son enseignement ne me convenait pas.

L’année suivante, j’ai fait la rencontre d’un magicien, qui m’a demandé de l’accompagner en reprenant des musiques de films à l’accordéon.

Ce fut une expérience intéressante et enrichissante, car les musiques étaient belles.

Hélas, j’ai malheureusement dû mettre de côté mes études, pour pouvoir le suivre.

Cette « aventure musicale a été de courte durée et il m’a fallu revenir très vite à la réalité et refaire une seconde « 1ère Scientifique », avant d’obtenir le Bac S, l’année suivante. »

Au cours de son interview audiovisuelle, l’accordéoniste est revenue sur cette période, pendant laquelle elle a accompagné son ami magicien.

A suivre …

 

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 23:05

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A l’occasion du 17ème festival « ACCOR-DOUE-ON », en septembre dernier à DOUE-LA-FONTAINE, dans le Maine-et-Loire, nous avons fait la connaissance d’une jeune et ravissante virtuose de l’accordéon.

Agée de vingt ans seulement, Paméla SOURIAU habite dans une famille modeste, installée à MONTRICHARD (37), proche de TOURS, dans l’Indre-et-Loire.

Scolarisée à partir de l’âge de deux ans et demi, la jeune accordéoniste a toujours été une enfant épanouie, comme elle nous l’a confié, lors de notre rencontre au théâtre Philippe NOIRET.

Paméla SOURIAU : « J’ai eu la chance de naître dans une famille où mes parents et ma sœur aînée, âgée de deux ans et demi de plus que moi, m’ont toujours beaucoup aimée.

C’est l’année de mes cinq ans que j’ai voulu apprendre l’accordéon, découvert en vacances, tout à fait par hasard, dans un magasin de souvenirs.

Dès notre retour à MONTRICHARD, c’est un professeur de la région qui m’a appris à jouer de cet instrument.

Monsieur BOUTRON faisait passer des concours de fin d’année à tous ses élèves, et c’est « haut la main » que je décrochais les coupes, tout en obtenant les félicitations unanimes du jury.

En fait, je dois avouer que le niveau n’était pas très élevé.

C’est grâce à un « radio crochet », auquel Pascal LOUBERSAC m’avait gentiment invité à me produire sur scène, que ma vie a changé.

A l’époque, ce dernier venait souvent jouer au dancing « La Fiesta » à AMBOISE (37) et il nous a fait prendre conscience, à mes parents et moi, de la qualité des cours de mon professeur.

Cela dit, il m’a été vivement conseillé de changer néanmoins de professeur, pour progresse encore plus rapidement.

Dans le même temps, j’ai aussi pu me faire accompagner par l’orchestre « Angélique », au même dancing.

La même année, nous nous sommes rendu à « Musicora », le salon de la musique à PARIS, où j’ai fait la connaissance de Frédéric DESCHAMPS, qui est un professeur très pédagogue, ainsi qu’un représentant de la marque « Hohner ».

Suite à notre rencontre, je suis partie à l’âge d’onze ans faire des stages avec lui, à ST-ETIENNE (42), là où réside l’accordéoniste Mathilde ROYET. »

Dans la vidéo ci-dessous, l’accordéoniste tourangelle nous a indiqué comment se déroulaient les cours

A suivre …

 
 

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 23:05

 CAMESCOPE JVC GY-HD 101 DE FACE

 

Durant l’été, l’un de nos fidèles lecteurs sarthois, artiste retraité, nous a communiqué le lien de la vidéo ci-dessous, consacrée à une animation originale dans un supermarché étranger, que les centres commerciaux français feraient bien de programmer, au moins à l’occasion de la fête de la musique. 

Il vous reste maintenant à découvrir cet opéra "surprise" exceptionnel !

 

 

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24 juillet 2013 3 24 /07 /juillet /2013 23:05

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Nous terminons notre reportage consacré à l’auteur, compositeur, interprète CENDRIO, natif d’Alès, dans le Gard, et habitant désormais dans un village, situé au nord-ouest d'Angers, dans le Maine-et-Loire.

Nous lui avons demandé de nous parler des ateliers qu’il anime dans les écoles.

CENDRIO : « Depuis Quatre années j'anime des ateliers « écriture chansons », dans divers établissements scolaires du Maine et Loire (Lycée Chevrollier à Angers, école Jules Ferry de Saint Barthélemy d’Anjou etc.).

Ces  animations me procurent un réel plaisir. C'est l'occasion de partager la passion de l'écriture, de réfléchir sur le choix et le poids des mots, c'est important.

C'est vrai que mener un projet d'écriture en partant de zéro, mettre en forme un texte, faire parler son imagination...

Tout un programme !

Et puis c’est aussi l’occasion de rencontrer l’autre avec ses différences, de partager des idées, d’être bousculé aussi dans ses convictions.
 
C’est également une prise de risque et un challenge personnel à chaque fois.

Serais-je aussi capable avec les enfants qu’avec les ados qu’avec les adultes ?
 
C’est toujours un peu l’inconnu, mais quelle satisfaction de réaliser que cela fonctionne très bien, quelque soit les âges ! ».

cendrio_-guitare-copie-1.jpg

TV@ : Avez-vous d’autres passions que la chanson et la musique ?

CENDRIO : « Je suis contemplatif de la nature. Je crois qu’en elle se trouve le réconfort, le ressourcement, la respiration même de la vie.

Regardez les fleurs des champs, elles ne se soucient de rien et pourtant chaque année elles sont là avec leur beauté, leur parfum... La nature reste fidèle. »

TV@ : Quels sont vos deux principaux projets à concrétiser au cours de ces deux prochaines années ?

CENDRIO : « Le premier projet à court terme concerne l’écriture d’une chanson « slam sur une base de rap », dans le cadre d’un atelier avec des jeunes, placés en centre éducatif de la protection judiciaire des PONTS DE CE, en banlieue de ANGERS.

L’idée donc est de finaliser cet atelier par la concrétisation matérielle d’un single, c'est-à-dire passer par les différentes étapes à savoir, l’enregistrement, l’élaboration de la jaquette jusqu'à la fabrication.

Si tout ce passe bien, j’envisage d’emmener les jeunes parler de leurs projets dans les médias, qui voudront bien les recevoir.

Et j’espère qu’il y en aura !

Je pense que cela leur permettra ainsi d’avoir une vision globale de leur travail, cela suscitera peut être des vocations et surtout cela va leur montrer qu’ils sont capables de mener à bien un projet, de prendre confiance en eux et de se dire que c’est possible.

Ce serait pour cette population d’ados en grande difficulté un sacré encouragement !

A ce jour je suis très optimiste sur la viabilité du projet ; on verra bien.

conte-copie.jpgUn peu plus loin et après mon nouvel opus, j’envisage de retourner en studio pour enregistrer le conte musical « Le secret de la princesse Flavia » pour enfants de 4 à 8 ans.

L’écriture de ce conte est aujourd’hui terminée, il reste tout le travail de mise en scène.

Un livre et un CD racontant cette histoire sont également finis, en attente d’un éditeur.»

DISCOGRAPHIE :

Les albums :
 1997 : Sortie du premier album SUR LE MEME TROTTOIR (Mi Cora Son / Night  and Day)
 2002 : Sortie du deuxième album SEPT COULEURS (Lest Production)
 2006 : Sortie du troisième album LES RAYURES DU ZEBRE (Lest Production)
 2010 : Sortie du quatrième album MA ROUTE (Lest Production / Mosaïc Music)

Les singles :

- Camisards (2005)
- Vu d’ici (2006)
- Nains de jardin (2007)
- Fier (2009)
- Peureux (2010)
- GR 70 - Le voyage de R. L. STEVENSON (2010)
- Ma route (2011)
- Flavia (2011)
- Mona Lisa (2012)
- Vasco l’enfant soldat. (2013)

En 2013

  -    Juin : Finalisation de l’atelier d‘écriture  avec les jeunes de l’établissement de placement éducatif de la protection judiciaire des Ponts de Cé. Enregistrement du titre « DELINQUANCE » + promo radio, presse etc…

- Septembre : Cinquième album PARLEZ MOI DE MOI (Lest Production / MVS)

- Printemps 2014 : Conte musical pour enfants de 4 - 8 ans, « Le Secret de la Princesse Flavia, CD + Livre - l’histoire ici.

LIENS CENDRIO SUR LE NET :

- Site 

- Blog
- Myspace 

- Facebook  

 

 

 

 

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