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11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 00:05

DSCF5812_retouche.JPGLa semaine dernière, nous avons commencé à nous intéresser, à la chanteuse angevine « SwingLee », que nous avons eu la chance de rencontrer ces derniers mois au restaurant "La Douceur Angevine" à LOURESSE-ROCHEMENIER (49). 

Contrairement à beaucoup d’autres interprètes, elle n’a pas participé à des concours de la chanson.

SwingLee : « À quinze ans, j'en aurais eu envie, mais je ne savais pas comment faire et aujourd'hui cela ne me viendrait pas à l'idée !

De nombreux artistes m'ont écoutée et ont donné leurs avis et conseils.

La dernière en date, c'était mon amie Marielle DECHAUME, une excellente coach vocal, en plus d'une chanteuse généreuse et talentueuse !

Une sacrée chance pour moi ! C'est de cela que j'avais besoin.

Désormais, aussi, chaque fois que mes spectateurs se mettent à danser et à sourire, pendant mes concerts, j'estime que j'ai gagné le concours ; cela me suffit !

Surtout,  s'ils viennent en plus me voir après, complètement surexcités, pour me dire que ma prestation artistique leur a plue ; c'est leur émotion qui me dit si j'ai été à ma place. »

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TV@ : Que pensez-vous des « Bâtisseurs de chansons », « The Voïce », « Nouvelle Star » … ?

SwingLee : «Tous ces concours ne se valent pas, mais ils sont une chance formidable pour les jeunes spectateurs de comprendre comment on améliore sa façon de chanter.

A propos des émissions télévisuelles, j'admire immensément ces jeunes participants, dont certains ont un talent magnifique, car ils sont soumis à des pressions très fortes et doivent apprendre leurs morceaux rapidement, tout en gérant la scène et les millions de téléspectateurs.

Tout cela, sans perdre contact avec l'émotion et sans la laisser prendre le pas sur la maîtrise vocale non plus.

C’est un véritable exercice d'équilibriste !

Il y a dix ans, j'ai pas mal appris en écoutant les « feed-backs » de l'équipe de « La Nouvelle Star ».

Venant du monde de l'opéra, j'avais tout à découvrir en matière de chant « pop ».

TV@ : Quels ont été vos débuts d’auteur et de chanteuse, à l’âge adulte ?

SwingLee : « À 21 ans j'ai commencé à chanter dans les choeurs de l'opéra d'ANGERS (49), tout en menant une carrière d'enseignante en parallèle.

Quand le choeur a été dissout en 2004, j'ai eu envie d'aller enfin vers le style de musique que j'aime.

L'aventure à l'opéra avait été fabuleuse, car je bossais avec des pros et sur scène,  mais il était temps de passer à ce qui me correspond vraiment. »

Dans la vidéo ci-dessous, l’artiste angevine nous raconte ses meilleurs souvenirs de chanteuse d’opéra, avant de découvrir le « swing ».

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27 novembre 2014 4 27 /11 /novembre /2014 00:05

  logo-ladislas-REVU.jpgOn se retrouve une dernière fois pour terminer le reportage du duo « Ladislas », en nous intéressant tout d’abord à la manière dont se déroulent les répétitions.

Théodore CAILLEAU : «  Nous travaillons sous forme de résidence, c'est à dire que nous nous voyons une à deux fois par mois, mais pendant plusieurs jours d'affilés.

Nous répétons le plus souvent pendant trois jours, soit sur ANGERS ou REDON.

TV@ : Comment trouvez-vous le plus souvent vos inspirations pour écrire les textes et musiques de vos chansons ?

Théodore CAILLEAU : «  Les sujets que j'aborde sont souvent tournés sur des ressentis, la vie quotidienne, l'amour, l'homme en général.

J'essaie de faire ressortir le meilleur de chaque chose, car je pense que cela ne sert à rien de ressasser ce qui ne va pas.

Au contraire, si on partage notre bien être, on en ressortira tous plus grand.

J'ai donc envie que le public sorte du concert apaisé et heureux d'avoir partager ce moment avec nous.

TV@ : Quelle a été l’évolution de votre carrière, depuis vos débuts sur scène ?

Théodore CAILLEAU : « Mon aventure musicale a pris un véritable tournant en 2012 et 2013, années durant lesquelles « Ladislas » a obtenu le soutien du Département des musiques actuelles, du conservatoire de CHOLET (Laurent PATAILLOT et Mathieu RIMBERT) et du « Chabada », la scène musicale incontournable d'ANGERS.

« Ladislas » a également participé à la création et à la composition de musique de film (court métrage) et réalisé des musiques pour des expositions thématiques, comme « Les Anges » ou bien encore « Le Repas ».

Par ailleurs « Ladislas » a eu le plaisir de jouer avec des musiciens tels que :

Solène COMSA (violoncelle, Babel), Antoine OUVRAD (Pianiste), François

DANIEL (Percussionniste) ou encore Stéphane GUILLAUME (saxophoniste).pochette-disque-Ladislas-jpg.jpgCe fut également une joie de pouvoir sortir, le 21 décembre 2012, le premier album de « Ladislas », intitulé « Ladis'corde ».

Violoncelle, guitare aiguisée ou encore piano rythment et poétisent cet album très abouti.

Enfin, de concerts en concerts, « Ladislas » ne se lasse jamais de partager sa passion de la scène, avec son public toujours plus nombreux, séduit par son charisme et son énergie. »

TV@ : Depuis combien de temps êtes-vous l’un et l’autre musiciens professionnels ?

Théodore CAILLEAU : « Deux ans pour ma part et cinq ans pour mon collègue François. »

A la fin de son interview audiovisuelle, l’artiste angevin nous a présenté les projets du duo « Ladislas ».


 

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 00:05

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La semaine dernière, nous avons commencé notre reportage sur le duo « Ladislas », qui s’est produit notamment le 26 août dernier, lors des « Mardis de TURQUANT », en Anjou.

Nous avons demandé à son créateur de nous indiquer les artistes qui l’ont  influencé depuis le début de sa carrière artistique.

Théodore CAILLEAU : «  Les groupes m'ayant influencés sont entre autres « Debout sur le Zinc », « Les Ogres de Barback », « Tryo » et beaucoup d'autres, car il y a très peu de styles musicaux que je n'apprécie pas. »

TV@ : Comment résumez-vous votre carrière musical en solo ?

Théodore CAILLEAU : «  J'ai rapidement sorti un premier album de 13 titres, intitulé « Ladis'corde » puis j'ai assuré vingt-cinq dates sur scène. 

Pour ce premier album, j'ai souhaité faire les choses bien.

J'ai passé 15 jours au studio « Métronome », où j'ai fait intervenir des musiciens tels que Solène COMSA au violoncelle, Antoine OUVRARD au piano et également Jean Luc CHEVALIER, qui m'a fait l'honneur de jouer l'introduction d'une des musiques de l'album.

Sur scène mon spectacle a été très bien accueilli et j'ai eu le plaisir de constater que mon univers était apprécié par un public intergénérationnel. »

TV@ : Dans quelle région vous êtes-vous produit en solo ?

Théodore CAILLEAU : «  J'ai joué principalement dans le grand Ouest, en particulier les Pays de la Loire, mais aussi en Bretagne et Poitou Charente. »

TV@ : Quel était alors votre répertoire sur scène ?

Théodore CAILLEAU : «  J’interprétais sur scène les compositions qui figurent sur l'album « Ladis'corde »

TV@ : Que ressentez-vous sur scène ?

Théodore CAILLEAU : «  La scène est un milieu très formateur et parfois rude, car lorsque l'on monte sur scène seul, on est à nu, donc c'est quitte ou double. On ne peut jamais être sûr du résultat, à l’avance ; c’est grisant ! »

TV@ : A quel moment « Ladislas » est-il devenu un duo ?

Théodore CAILLEAU : « A la fin de l’année 2013, François DANIEL, âgé de trente ans, percussionniste, balafon chromatique de REDON (35) a rejoint l'aventure et nous avons décidé par la suite de former le groupe « Ladislas ».

Avec cette nouvelle formule de « Ladislas » nous nous sommes produits sur vingt-six scènes de la région. »

En vidéo, l’artiste nous parle du style musical de ce duo.

A suivre …

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13 novembre 2014 4 13 /11 /novembre /2014 00:05

 P1130962.JPG_2014-8-11-15_17_18.jpg

 

A la fin du mois d’août dernier, nous avons fait la connaissance du groupe « Ladislas », qui se produisait en concert, dans le cadre des « Mardis de TURQUANT », organisés par l’association culturelle locale T.A.M.A.

« Ladislas » distille une chanson française, pop rock, teintée de notes orientales, avec de nombreuses influences.

A l’origine de ce duo, l’auteur-compositeur-interprète, Théodore CAILLEAU, alias « Ladislas », est un artiste qui se nourrit des couleurs du monde et aime les faire partager dans ses chansons.

Toujours accompagné de sa guitare, ses mélodies et ses textes vous font voyager d’un univers à un autre, mêlant pop-rock, folk et flamenco.

Ses notes joyeuses, envoûtantes et chaleureuses semblent ainsi jaillir d'une boîte à musique, jamais à court d'inspiration !

Passionné par le chant et la guitare dès l'enfance, « Ladislas » s'est formé auprès de guitaristes, renommés tels que Jean Luc CHEVALIER (guitariste de Magma, Tri yann), André CHARBONNEAU (guitariste flamenca) et Christophe LAURENCEAU (guitariste de jazz).

Ce chanteur/guitariste, auteur/compositeur de  vingt-quatre ans nous a tout d’abord brossé l’historique du groupe, dont il est à l’origine.

Théodore CAILLEAU : « En 2013, Ladislas était au départ mon projet solo.

« Ladislas » correspond tout simplement à mon deuxième prénom, que j’ai choisi comme nom de scène, car j'aime sa musicalité.

Par ailleurs Ladislas est un nom venu de Pologne, où les musiques de l'Est font parties de mes influences.

Je trouvais donc intéressant de le rappeler dans le nom du projet. »

TV@ : D’où êtes-vous originaire et à quel moment avez-vous été contaminé par le virus musical ?

Théodore CAILLEAU : « Je suis originaire de ST-MACAIRE-EN MAUGES, où j’ai vécu dans un milieu familial dans lequel l'art occupe une place importante.

Alors que mon père est sculpteur sur bois et parfois même trompettiste amateur à ses heures perdues, ma mère fait de la peinture.

Je pratique la musique depuis l'age de 6 ans.

J'ai d'abord commencé par la batterie jusqu'à l'age de 15 ans, puis j'ai testé la trompette, ainsi que le piano, avant de me mettre à la guitare.

J'ai alors intégré plusieurs groupes avec lesquels j'ai connu le plaisir de la scène.

Mes parents m'ont toujours encouragé à faire quelque chose, dans laquelle je me sente bien et je vis maintenant de la musique depuis deux ans.

Au début de son interview vidéo, ce jeune artiste professionnel nous a confié avoir suivi une formation musicale, à partir de son adolescence.

A suivre … 


 

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6 novembre 2014 4 06 /11 /novembre /2014 00:05

Paris_retouche.jpgLa semaine dernière, nous avons commencé à vous présenter l'auteur dramatique lyonnais Frédéric DUBOST qui, après s'être consacré à sa vie de famille, est revenu au théâtre.

TV@ : A quel moment êtes-vous revenu au théâtre ?

Frédéric DUBOST : « Au début des années 2000, j’ai replongé en collaborant comme acteur avec les troupes de ST-PIERRE-DE CHANDIEU, puis d’HEYRIEUX, dans le Rhône.

C’est là que mon envie d’écrire est venue de façon évidente.

Nous cherchions une pièce pour la saison en cours…

Puis, j’ai commencé à écrire les deux premières « Cinq plus une » montée à Montpellier (34) en 2011 et « N’oubliez pas Colibri » mis en scène la même année à Heyrieux (38). »

TV@ : Avez-vous écrite ensuite d'autres pièces ?

Frédéric DUBOST : « Oui, puisque sept autres pièces sont nées ensuite, pour un total de plus de 140 représentations à ce jour. »

TV@ : De quelle manière et où trouvez-vous généralement votre inspiration ?

Frédéric DUBOST : « Le quotidien donne plein d’idées. J’aime l’actualité, la vie de la cité…

Il suffit d’ouvrir ses oreilles et ses yeux pour trouver des sujets.

En ce moment la réalité dépasse parfois la fiction. »

TV@ : Quel statut avez-vous ?

Frédéric DUBOST : « Pour l’instant, je suis encore amateur.

Mais j’ai le secret espoir de faire de ma passion une activité à plein temps. »  Ozon-la-scene.jpg

TV@ : Pour quelles troupes travaillez-vous désormais ?

Frédéric DUBOST : « Aujourd’hui, je travaille dans la troupe « Ozon la Scène » avec deux pièces « Sans domicile, Félix » et « Le Mange-Disque »

Nous jouons les 8 et 9 novembre à St Symphorien d’Ozon.

Pour la majorité, il s'agit de pièces de boulevard.

A chaque fois, j’essaie de mélanger les émotions pour entendre le rire des spectateurs, puis leur silence quand j’aborde un sujet plus fort, avant de repartir dans l’amusement.

Aujourd’hui j’ai décidé de consacrer l’essentiel de mon temps à l’écriture, en :

• Avançant sur plusieurs projets de nouveaux textes.

• Faisant la promotion de mes pièces existantes,

• Proposant aux troupes qui le souhaitent l’écriture sur mesure de pièces adaptées à leur distribution. »

TV@ : Avez-vous d'autres passions, en dehors du théâtre ?

Frédéric DUBOST : « En dehors du théâtre, j’aime écrire des textes de toutes sortes; articles sur l’actualité, biographie, poèmes et parfois des textes coquins… ».

A ce propos, vous pouvez en retrouver certains sur le site « JePoème » : 

Mes pièces étant lisibles sur le « Proscénium » ou la « Théâtrotèque »….

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TV@ : Quels sont vos projets littéraires et théâtraux ?

Frédéric DUBOST : « Nous jouons avec "Ozon la scène", ces 8 et 9 novembre à ST-SYMPHORIEN D’OZON, l'une de mes pièces  « Le mange disques ».

Je suis en train d'écrire deux ou trois nouvelles pièces, dont une devrait être terminée avant la fin de cette année ».

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30 octobre 2014 4 30 /10 /octobre /2014 00:05

Moi-gros-plan.jpg 

Durant l'été dernier, nous avons été contacté par un auteur dramatique lyonnais, qui deviendra quinquagénaire, à la fin de cette année.

Ce papa de deux grandes filles habite aujourd’hui à CHARANTONNAY, un village se trouvant dans une communauté de communes, où le théâtre est très présent, comme en témoigne « Le festival des collines du Nord Isère ».

Lors de son interview, nous lui avons demandé à quand remonte son intérêt pour cette discipline artistique.

Frédéric DUBOST : « Enfant, j’ai approché le théâtre, grâce à l’une de mes cousines, Luce GERARD qui, avec son mari Jean RAVIER, ont animé pendant de très longues années la troupe « Les théâtriers », qui se produisait régulièrement à LYON.

Mes premiers pas sur scènes remontent à de la figuration, avec « Les Théatriers ».

Puis, plus tard au Lycée, et enfin avec « Les Baladins de VILLIEU ».

TV@ : Avez-vous eu l'occasion de faire du théâtre à l'école ?

Frédéric DUBOST : « Alors que j’ai toujours aimé lire, j’ai connu une grande chance, celle de faire du théâtre au lycée St Joseph, rue Ste Hélène à LYON (69).

Nous avions une salle magnifique et M. FILLIATRE, un professeur de français  fantastique, qui était passionné de théâtre »

TV@ : Quel a été votre parcours scolaire ?

Frédéric DUBOST : « Après avoir obtenir un Bac littéraire, j’ai décroché un Deug de droit ».

TV@ : Quelle orientation professionnelle avez-vous choisie ?

Frédéric DUBOST : « Le hasard de la vie m’a fait entrer chez SFR en 1990, au début de la société.

J’ai travaillé dans cette société jusqu’à cette année ; plus particulièrement au sein de la direction juridique et du service clients. »

TV@ : A quel moment avez-vous créé votre première troupe théâtrale ?

Frédéric DUBOST : « Avec mon frère, nous avons été à l’origine de la troupe de l’Ain, « Les baladins de Villieu », au début des années 80, à  Villieu-Loyes-Mollon.

C'est ainsi que j’ai mis en scène «  On ne badine pas avec l’amour », « Le malade imaginaire » puis « Le rendez-vous de Senlis »…

Après, j’ai oublié un peu le théâtre pour fonder une famille, favoriser ma carrière professionnelle. »  

TV@ : Peut-on connaître vos auteurs préférés ?

Frédéric DUBOST : « Mes auteurs dramatiques préférés sont aujourd'hui Eric-Emmanuel SCHMITT...Pas mieux en ce moment !

Jean Cocteau avec « Les parents terribles », une pièce que j'adore et enfin Jean ANOUILH, pour la diversité de ses pièces...

A suivre …

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22 octobre 2014 3 22 /10 /octobre /2014 23:05

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  © 2014 Nicolas TESSIER - Tous droits réservés

Nous terminons notre reportage, permettant de vous faire découvrir le groupe « Caviar Machine », qui se produisait en août dernier, à l’occasion des « Mardis de TURQUANT », dans le Maine-et-Loire.

Mais au fait, « Caviar Machine » est une machine à danser ou à écouter rêveusement ?

Caroline ORSINI : « A écouter !

Sur scène de festival ou en « caf'conc' », nous privilégions la proximité et faisons passer le message du texte, qui dépeint de manière grinçante et sarcastique toutes les déclinaisons des rapports humains (et affectifs en particulier).

Le nom du groupe ne vient pas d'une machine à danser, même s'il arrive parfois que le public se déchaîne sur les moments rapides, mais d'une simple association de mots à la manière d'un cadavre exquis. »

TV@ : Comment est venue l’idée du visuel ?

Caroline ORSINI : « L'idée du visuel est née dans cet état d'esprit ; avec cette envie de contradiction.

Aussi, le groupe se mit d'accord sur un personnage féminin, très 17ème, semblable à celles qu'on peut trouver sur un Camé.

Mais en regardant bien, la femme sera « Destroy » et kitsch.

Clé, une dessinatrice Nantaise, s'est imposée à nous.

Nous la connaissions pour ses participations au journal « Zélium » et le « Chakipu ».

A l'évidence, les traits de ses personnages étaient exactement ce que le groupe cherchait.

Il n'y a quasiment pas eu de retouches sur l'original qu'elle a proposé. »

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TV@ : Où se produit plus particulièrement le groupe ?

Caroline ORSINI : « A raison d’une trentaine de concerts/an, « Caviar Machine » tourne depuis trois ans principalement dans la région angevine et nantaise, mais pas seulement.

Chaque passage est remarqué, notamment par l’univers de chanson Française, qui est bien éloigné de l'idée « classique » qu'on s'en fait.

On entend des comparaisons avec Catherine RINGER, Brigitte FONTAINE, Paris COMBO...

Lors de nos concerts, on remarque facilement notre fougue communicative, alliée aux sons chauds, qui emporte le public dans un tourbillon musical et ne laisse personne indifférent.»

A la fin de son interview vidéo, la chanteuse angevine nous a présenté les projets du groupe composé de :

Caroline Orsini au chant (écriture, composition)

Florian olivier aux guitares et banjo (composition)
Sébastien Gloriod à l'accordéon (composition, arrangements)

Antoine Devanne au saxophone baryton

Christopher Bézier à la batterie »  

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15 octobre 2014 3 15 /10 /octobre /2014 23:05

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Nous continuons notre reportage, consacré au groupe de « swing groovy », que nous avons découvert l’été dernier à TURQUANT, dans la région saumuroise.

Pour la chanteuse de « Caviar Machine » : « Le groupe a été créé autour des univers de chacun.

Tout le monde a participé aux nouvelles créations.

Nos sources d'inspirations sont nombreuses : jazz, swing, rock...

Les goûts musicaux sont parfois différents, ça n'en est que plus inspirant !

Les chansons viennent se frotter à des breaks « hip-hop », des envolées d'accordéon dégringolent « à la Russe » pour casser un rythme attendu, une guitare manouche débarque, là où on ne l'attend pas.

Puis c'est une guitare électrique qui vient dévergonder une valse romantique...

Le saxophone apporte la lumière et la chaleur autour, mais surtout... ça groove ! »

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© 2014 Nicolas TESSIER - Tous droits réservés

TV@ : Comment définissez-vous vos textes ?

Caroline ORSINI : « Les textes sont souvent ironiques et pleins de sarcasmes.

Pointant du doigt les travers du quotidien, les amours qui ne sont jamais simples, les vies des autres qui ne sont jamais vraies, la séduction, la curiosité des voisines...

Mais ce qui transparaît dans beaucoup des textes, c'est la liberté, sous toutes ses formes.

Au fil d'une prose tout en images et couleurs, on suit un fil invisible et on est libre de se laisser porter.

On peut rire d'un sujet grave sur fond de tango, ironiser sur une marche militaire, toucher en plein cœur sur un swing léger.

Les contrastes fusent et c'est exactement ce qui représente les membres du groupe. »

TV@ : Comment avez-vous choisi le nom de votre groupe ?

Caroline ORSINI : «  Le nom « Caviar Machine » est issu d'un cadavre exquis.

Avec Florian, on cherchait un nom qui fasse luxueux, tout en l'associant à un mot plus froid (encore une envie de contraste...).

L'idée n'étant pas de véhiculer l'idée d'un style, bien au contraire, le nom du groupe était censé inviter à la curiosité, ne dévoilant rien du genre musical.

« Caviar Machine » sonnait bien et répondait à cette attente.

Le sous-titre « Chanson de Luxe » est venu très vite compléter cela, ajoutant l'ironie et n'indiquant toujours rien de ce que vous pourrez écouter avant que vous l'écoutiez. »

Lors de son interview audiovisuelle, l'artiste angevine nous a parlé de l'intérêt d'un concert en plein air, comme celui donné au mois d'août dernier, au village troglodytique de TURQUANT (49).

A suivre … 

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 23:05

 Pochette caviar présentation

La semaine dernière, nous avons commencé notre reportage consacré au groupe « Caviar Machine », dont l’univers musical est le « swing groovy ».  

Sa chanteuse et créatrice nous a confié ce qui l’a principalement motivée pour former ce groupe.

Caroline ORSINI : « Nous avions à cœur de créer un projet plus personnel, tant au niveau du son que de l'univers, de la chanson Française, avec des touches de tout ce qui nous fait vibrer, sans concession. »

TV@ : Comment et où trouvez-vous généralement vos inspirations d’auteur ?

Caroline ORSINI : « J'observe beaucoup les gens, les choses, leurs relations, leur mal-être, leurs petits bonheurs... et je m'écoute aussi.

C'est souvent à partir d'une sensibilité, un souvenir, une impression que je base mes textes.

La mélodie vient souvent en marchant, dans la nature, là où la tête se vide de tout ce qui la parasite.

A ce propos, j'ai très souvent mon dictaphone avec moi car, même un petit bout de mélodie, je l'enregistre. »  20140705-173503-800.jpg

© 2014 Nicolas TESSIER - Tous droits réservés

TV@ : Qu’en est-il pour Florian, qui compose les musiques du groupe ?

Caroline ORSINI : « Florian a des mélodies plein la tête.

Lorsque je lui soumets une chanson, il met généralement quelques minutes pour décortiquer les idées que je lui donne, essaye des choses assez simples et qui sonnent, dans un premier temps.

Il peaufine chez lui et je crois savoir que c'est la nuit qu'il est le plus inspiré !  

A noter aussi que Sébastien, qui est à l'accordéon, compose de plus en plus pour le groupe et propose ses mélodies afin que j'écrive dessus. »   DSCF5747 retouchéTV@ : Pouvez-vous nous décrire le style musical de votre groupe ?

Caroline ORSINI : « Les ambiances sont métissées, tantôt solaires, tantôt plus sombres avec un mot d'ordre : « Il faut que ça groove ».

En effet, il est très important pour nous que les textes soient clairs et mis autant en valeur que la musique. »

Dans la vidéo ci-dessous, l'auteur et chanteuse angevine nous a expliqué d’où viennent les influences musicales hétérogènes du groupe. définissant l'univers de "Caviar Machine". 

A suivre …

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 23:05

caviar.jpg

© 2014 Nicolas TESSIER - Tous droits réservés

Profitant de son concert du 19 août dernier, à l’occasion des « Mardis de TURQUANT », nous nous sommes intéressés au groupe « Caviar Machine », qui est né en 2011, sous l'impulsion de l’angevine Caroline ORSINI, âgée de 34 ans et d’un nantais Florian OLIVIER (27 ans), respectivement chanteuse et guitariste.

Jouant ensemble depuis plusieurs années, dans le groupe angevin de chansons swing et Balkaniques « Favola Swing », ces deux artistes ont eu l'idée de créer un groupe de chanson Française.

Avec « Caviar Machine », c’est de la swing-chanson-rock, en provenance directe de NANTES.

Un univers « pêchu et voyageur », des textes ciselés et bourrés de sarcasme : le tout pour une soirée swing groovy.

DSCF5746_retouche.JPGTV@ : Quel a été votre parcours artistique respectif ?

Caroline ORSINI : « J'ai toujours chanté et écris mes textes, depuis toute petite.

J'ai intégré quelques années une chorale et, après m'être cherchée un peu, j'ai rencontré un guitariste Roumain qui m'a plongé dans les traditionnels Balkans.

J'ai monté un répertoire sur NOUGARO, avec le pianiste/accordéoniste Eddy SCHAFF.

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Puis, en 2005, j'ai eu envie de chercher à monter mon projet avec des reprises puis y intégrer mes textes, ça a donné  « Favola Swing », qui a laissé sa place quelques années plus tard à « Caviar machine », avec cette envie de créer un projet uniquement de compositions personnelles.  20140705-174703-800.jpg

© 2014 Nicolas TESSIER - Tous droits réservés

De son coté, Florian OLIVIER est un guitariste autodidacte.

La guitare l'a démangé dès l'adolescence.

Il a participé à plusieurs projets (chansons, rock...), jouer pas mal de guitare électrique, avant de passer à l’acoustique, en s’entichant des rythmes manouches et nomades.

Il a fait pas mal d'ateliers qui lui ont permis de peaufiner son jeu et trouver son « toucher ».

Il intégra dès le début « Favola Swing » et commença très vite à composer sur les nouveaux morceaux, avant de se retrouver dans le projet « Caviar Machine ».

Dans notre groupe, il joue à l'acoustique, l'électrique et au banjo.

Florian évolue également dans le groupe nantais « Zatchem », de chansons Françaises et de l'est.

Au début de son interview audiovisuelle, la chanteuse et auteur angevine nous présente le groupe et ses origines.

A suivre …

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