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27 décembre 2012 4 27 /12 /décembre /2012 00:04

Sébastien percussionniste

Jeune retraité, un ancien gendarme douessin nous a fait parvenir cette étrange vidéo, que nous avons souhaité vous diffuser, à l'occasion des fêtes de fin d'année.

On vous invite donc  à découvrir ce vrai délire musical, qui anime un clip loufoque, apparemment conçu par un ingénieur en mécanique, selon notre fidèle lecteur.

Pour notre part, on n'avait encore jamais vu cela; merci Patrick ! 

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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 00:05

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Depuis un mois, on s’intéresse à une talentueuse accordéoniste et chanteuse lyrique rennaise, qui a participé au XVIème festival « Accor-Doué-ON » de DOUE-LA-FONTAINE, dans le Maine-et-Loire.

C’est à cette occasion que nous lui avons demandé si elle avait déjà enregistré des albums.

Gwénola MAHEUX : « Depuis près de vingt ans, j’ai effectivement enregistré un certain nombre de CD, à savoir :

1993-1994 Nombreux disques avec « l’Ecole Maîtrisienne des Pays de Loire », notamment « Ceremony of Carols » de Britten, « La France du XXème siècle », disques de chant grégorien.

1995 à1997 : Trois compilations pour la liturgie, avec « La Maîtrise des Pays de Loire »

1999 : Cd avec A Sei Voci « Missa Pange Lingua » Josquin DESPREZ

2004 : « Miroir »avec la chanteuse lyrique Marie Claire VIALATTE

2005 : « Les confessions d’un con », Olivier TREVIDY, Avel OUEST

2006 : Accordéon solo « RENCONTRE »

2008 : « On n’est pas là…mais pas loin », avec le groupe « Paris Canaille » et « Peur de rien », Mouf Mouf

2009 « Gullivan » avec François BOROS ex « Mes souliers sont rouges » et Participation à l’album « plein jeu », autour de la musique d’orgue française du XXème siècle. »

2011, un album live avec GULLIVAN

2012 : Album avec le groupe « Gospel Five ».

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TV@ : Quelles ont été vos autres expériences professionnelles, comme chanteuse soliste ?

Gwénola MAHEUX : « La musique d’ensemble m’a naturellement donné l’envie de chanter soliste.

Au fil des rencontres et des auditions, de petits rôles se profilent dans des œuvres de styles différents et d’époques différentes.

Quelques exemples depuis 2002 : Alto solo dans l’ « Oratorio de Noël » de St SAENS, rôle de l’enfant dans « L’enfant et les sortilèges », aux « Champs libres » de RENNES.

2007 Tournée de concerts, avec le spectacle « Paris Canaille », à MOSCOU (Russie)

2008 Alto solo dans la « Petite messe solennelle », de ROSSINI et concert Schubertiade des champs libres à RENNES.

2009 Récital Kurt Weill, accompagné par Elisa BELLANGER. Création de « Marie Galante » de Kurt Weill, avec l’orchestre de Bretagne, à l’opéra de RENNES.

2010 Récital Ravel, rôle de « Osmina » Suor Angelica de PUCCINI, à l’opéra de RENNES (photo).

2011 Jenufa (voix de coulisse) de JANACEK, le journal d’un disparu de JANACEK.

2012 La Belle Hélène (rôle de Loena) OFFENBACH, alto solo dans le Stabat Mater de DVORAK, rôle de Carmen dans « Carmen » de BIZET. »

A la fin de son interview audiovisuelle, l’artiste bretonne nous présente les principaux projets, qui lui tiennent à cœur.

A suivre …

   

 

 

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13 décembre 2012 4 13 /12 /décembre /2012 00:05

photo trio Gullivan 

On poursuit le reportage que nous consacrons depuis trois semaines à une artiste bretonne, que nous avons eu le privilège de rencontrer, à l’occasion du XVIème festival « Accor-Doué-ON » de DOUE-LA-FONTAINE, dans le Maine-et-Loire.

Après avoir participé à de nombreux concours, comment s’est déroulée la carrière d’accordéoniste de celle qui est aussi chanteuse lyrique ?

GWENOLA MAHEUX : « Mes rencontres musicales et humaines m’ont permis de travailler au sein de différentes formations, dans différents styles… du bal au concert, avec des artistes tels que GULLIVAN (photos), « Paris Canaille », MASKERADE, « La tête ailleurs », Hervé RENIMEL. »

DSCF2947_retouche.JPGTV@ : Quels sont vos styles musicaux préférés ?

GWENOLA MAHEUX : « Je suis intéressée par différents styles, même si j’affectionne plus particulièrement l’accompagnement swing et jazz.

Je ne fais pas de vrais choix de carrière en accordéon, je me laisse porter par les projets et les sensations.

Je recherche le plaisir avant tout ! »

TV@ : Quelles sont désormais vos principales activités ?

GWENOLA MAHEUX : « Ma carrière est actuellement « en deux », à savoir le chant lyrique et l’accordéon. Je ne peux actuellement choisir.

Si un jour l’emploi du temps ne permet plus de « tout faire », la vie et le destin feront leur travail et me permettront peut-être de faire un choix ; qui sait ?

Avec l’accordéon, je travaille dans différentes formations, comme je vous l’ai dit précédemment.

En chant, je travaille au sein de différentes structures, comme « Mezzo Soprano » ; que ce soit en soliste ou en ensemble.

Ainsi, je suis chanteuse à l’Opéra de RENNES, NANTES, DIJON, au Théâtre des « Chants Elysées », au sein d’ensembles vocaux tels que  « Mélismes », « Humana Vox », » Egregor vocal », « Gospel Five »…

Nous jouons des œuvres allant de la musique ancienne aux opéras du XXème siècle. »

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TV@ : Quelles ont été les rencontres les plus marquantes durant votre carrière ?

GWENOLA MAHEUX : « Les rencontres qui ont éclairées ma carrière sont assez nombreuses, je pense que nous avons tous des « petits anges gardien » qui nous guident.

Le premier fut Raymond DUBOIS, commercial des « Accordéons Maugein », désormais décédé.

Pour moi, il a été un deuxième père, me conseillant, étant à l’écoute et présent à mes côtés, pendant des années.

Puis, des gens qui sont et seront toujours présents, comme Sébastien FARGE, René LACHEZE, Elisa BELLANGER, Bertrand LEMAIRE, Vincent CORLAY, Jacques MORNET, Eric MAHE… sans oublier mes parents.

Qu’ils soient artistes, enseignants, amis, ils me permettent d’être ce que je suis devenue aujourd’hui ; merci à eux ! »

Lors de son interview vidéo, nous lui avons demandé de nous raconter son meilleur souvenir de chanteuse lyrique.

A suivre …

  

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6 décembre 2012 4 06 /12 /décembre /2012 00:05

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Nous continuons la série d’articles, consacrée à une artiste bretonne, à la fois accordéoniste, mais aussi chanteuse lyrique « Mezzo Soprano ».

Lors de notre rencontre, au XVIème festival « Accor-Doué-ON » de DOUE-LA-FONTAINE, dans le Maine-et-Loire, nous avons voulu savoir à quel moment elle avait eu envie de chanter et de jouer de la musique.

Gwénola MAHEUX : « J’ai toujours aimé la musique, depuis ma plus tendre enfance.

Etant une « grande timide », j’étais  plus à l’aise en chantant qu’en parlant.

Aux environs de dix ans, mon souhait de départ était le violon.

Hélas, étant issue d’un milieu familial modeste, mes parents ne pouvaient pas m’inscrire à l’école de musique.

De son coté, ma sœur aînée pratiquait déjà l’accordéon.

Au fil des écoutes, découvertes de répertoires … mon envie grandit et l’accordéon devint « L’instrument » !

A cette époque-là, j’étais déjà attirée par les musiques dites « actuelles », le swing, et le tango.

Après mes études, ce choix de devenir musicienne professionnelle fut évident, car je me sens bien principalement sur scène ; un moyen d’expression à part entière.

Passionnée dans la vie, je le suis également sur scène. »

TV@ : Certains artistes vous ont-ils donné l’envie de faire un jour une carrière artistique ?

Gwénola MAHEUX : « Oui, tout d’abord des chanteurs, tels Yvan REBROFF, A Sei Voci, Nathalie DESSAY, Montsera CABALE, Maria CALLAS, Barbara HENDRIX, puis des accordéonistes tels que Sébastien FARGE, Domi EMORINE,  Richard GALLIANO… »

TV@ : Avez-vous participé à de nombreux concours nationaux et des stages ?

Gwénola MAHEUX : Au sein de ma formation musicale, j’ai bien évidemment participé à de nombreux stages et « Master classe », auprès de concertistes professionnels, en plus de différents pédagogues.

Encore actuellement, je participe régulièrement à des « Master classe » en chant.

Il est important dans une vie d’artiste de se remettre en question et ne jamais rester sur ses acquis.

Nous sommes en perpétuelle évolution et notre formation n’est jamais finie.

Il faut toujours se nourrir des conseils et talent des autres, afin de grandir personnellement. »

Dans la vidéo ci-dessous, la jeune et talentueuse artiste nous confie qu'il n'y a pas beaucoup de place à d'autres passions dans sa vie, en dehors du chant lyrique et de l’accordéon.

A suivre …

 

 

 

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29 novembre 2012 4 29 /11 /novembre /2012 00:05

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Le second week-end de septembre, nous avons participé à notre manière au XVIème festival « Accor-Doué-ON » de DOUE-LA-FONTAINE, dans le Maine-et-Loire.

Cet événement annuel nous a permis de faire la connaissance de plusieurs artistes, dont une fraîche et jeune femme accordéoniste rennaise, native de CHATEAUBRIANT (44), qui sait donner le change par sa belle énergie.

Lors de notre entretien, elle nous a indiqué qu’elle n’était pas la seule enfant de la famille MAHEUX à s’intéresser à la musique.

En effet, sa sœur a été professeur de musique en collège, avant d’en devenir directrice.

De plus, son frère est ingénieur du son, en sillonnant les routes de France et de l’étranger.

On lui a demandé si elle avait suivie une scolarité particulière, lui permettant d’assouvir très tôt sa passion musicale.

Gwénola MAHEUX : « Jusqu’en classe de 5ème, j’ai été scolarisée à CHATEAUBRIANT, en Loire-Atlantique, avant de partir en internat à ANGERS (49), afin d’intégrer une école de chant, comme d’autres font « Sport Etude ».

Ma formation « solfégique » s’est passée au conservatoire d’ANGERS, lors de mes études lycéennes.

Jusqu’en terminale, j’ai fréquenté « La Maîtrise des Pays de Loire »,et obtenu mon bac littéraire « musique » au lycée Joachim du Bellay.

Par la suite, je suis allée en faculté de musicologie à RENNES, où j’ai réussi ma licence. »

TV@ : A quel moment vous êtes-vous consacrée à l’accordéon ?

Gwénola MAHEUX : « Parallèlement à ces études scolaires, j’ai pratiqué l’accordéon auprès de différents professeurs particuliers, pour finir comme vacataire au C.N.I.M.A, auprès de Jacques MORNET.

J’ai également suivi la classe de chant au conservatoire de RENNES, où j’ai obtenu mon prix en 2008. »

TV@ : A quel moment êtes-vous devenue artiste professionnelle ?

Gwénola MAHEUX : « Très rapidement car, après avoir obtenu ma licence en musicologie, les rencontres de la vie m’ont vite guidée vers ce chemin.

Ne voulant pas être enseignante, je suis vite montée sur scène au sein de différentes formations, qui m’ont permis de devenir artiste lyrique et musicienne professionnelle. »

Au début de l'interview vidéo de cette artiste, nous avons voulu savoir si elle était auteur et compositeur des titres de son répertoire.

A suivre …

   

 

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22 novembre 2012 4 22 /11 /novembre /2012 00:05

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Au mois de septembre dernier, nous avons fait la connaissance de Mo JACKSON, l’un des célèbres sosies de la star mondiale : Mickaël JACKSON.

Natif de GRASSE (06), Mohamed KARA ALI, âgé de trente-six ans est avant toute chose un admirateur du « king of pop », pour lequel il a eût le « déclic » en 1983.

Cette admiration s’est intensifiée au fil du temps, notamment en 1987, lors de la sortie du clip « Bad », sur lequel Mickaël JACKSON « crevait » l’écran.

Petit à petit, Mohamed a voulu lui ressembler en consacrant beaucoup de temps à danser, tout en changeant de feeling et de look.

En 1992, il décrocha ses premiers spectacles et désormais il se produit régulièrement sur les scènes de France, comme celle de HAUTE-GOULAINE, près de NANTES, où nous avons pu le voir évoluer avec succès, en septembre dernier.

Amené à travailler régulièrement avec des professionnels du spectacle, il a très vite proposé un autre spectacle, qui rend hommage à CHAPLIN, une autre célébrité mondialement connue, également disparue.

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Parmi ses tournées nationales, figure notamment celle de « R.F.M Party 80 », avec de nombreuses vedettes, comme Cookie DINGLER, « Début de Soirée », le groupe « Emile & Image », Jean-Pierre MADER, Thierry PASTOR …

Comme les autres artistes français, à part entière, il se produit en CHAPLIN ou Mickaël JACKSON.

Lorsque nous l’avons rencontré, nous n’avons pas pu obtenir beaucoup plus d’informations, le concernant.

Il nous a tout de même confié qu’en dehors de Mickaël JACKON, il était également fan de MADONNA et PRINCE.

Avant de devenir intermittent du spectacle, il avait effectué une multitude de « petits boulots », à partir de sa majorité.

En dehors de la musique et son admiration pour CHAPLIN et M. JACKSON, il a beaucoup de passions dans la vie, sans pour cela nous préciser lesquelles.

Voilà donc un artiste peu loquace, qui reste très discret sur sa vie privée.

On se contentera donc de lui consacrer cet unique article, se terminant par la vidéo ci-dessous, nous permettant de le voir évoluer en « play-back » et surtout en dansant, comme Mickaël JACKSON.  

 

 

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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 00:05

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Nous vous invitons à nous envoyer les vidéos, qui retiennent votre attention, de manière à permettre aux lecteurs de ce magazine d'en profiter également, en les visionnant.  

C'est ainsi que Jackie nous a fait parvenir le document musical ci-dessous, concernant des musiciens burlesques exceptionnels. Mais quel est donc ce groupe étranger ? 

Mnozil Brass est un ensemble de cuivres autrichien formé en 1992.

Il s'agit d'un septet, dont tous les membres fondateurs sont diplômés de l'Université de Musique de VIENNE.

C'est après les cours, au café le "Mnozil" où ils se rencontraient régulièrement, qu'ils ont commencé à jouer ensemble.

Leurs représentations, émaillées de sketches burlesques et absurdes, offrent un large répertoire comprenant des schlager, de la musique traditionnelle autrichienne, du jazz mais aussi des reprises de musiques de films et de standards de la pop internationale.

Les morceaux sont souvent aussi bien joués musicalement que théâtralement, la troupe se moquant ainsi de la musique en tant qu'art sérieux.

Joyeux divertissement !   

 

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8 novembre 2012 4 08 /11 /novembre /2012 00:05

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Nous terminons notre série d’articles, consacrée à l’accordéoniste sarthoise qui participait,  au mois de septembre dernier, au XVIème festival « Accor-Doué-ON » de DOUE-LA-FONTAINE, dans le Maine-et-Loire.

Dernièrement, elle nous avait raconté comment s’était déroulé son premier stage d’accordéon, mais qu’a-t-elle fait ensuite ?

Charlène JOUSSE : « Pour moi ce fut un « déclic », avant d’enchaîner d’autres stages.

Au vu des résultats encourageants, j’ai décidé d'intégrer le centre pour une formation professionnelle à temps complet, après un bac S.T.G « Communication et Ressources Humaines ».

La première année, j'ai obtenu mon « Unité de Valeur » : musique d'ensemble et le certificat de fin d'étude musicale.

La seconde année, j'ai décroché mon « Unité de Valeur » : formation musicale, avec la mention bien.

En parallèle, j'ai remporté le titre de « Révélation Sarthe 2011 » au « Festival National d'Accordéon » à MULSANNE (72), dirigé par POLLUX.

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L’an dernier, j'ai également été lauréate aux finales de la « Coupe de France d'accordéon » à PARIS (photo ci-dessus).

En 2012, j'ai obtenu mon D.E.M d'accordéon, avec une moyenne de 18/20, accompagnée de la mention très bien et des félicitations du jury.

Il m’a été ensuite possible de participer au grand Concours International de MONTROND-LES BAINS (photo ci-dessous), située dans le département de la Loire et la région Rhône-Alpes, où tous les pays étaient représentés.403386 294062580672531 1384900801 nJ'ai remporté le « Trophée du rond point de l'accordéon » à ROMORANTIN (41) et effectué divers galas dans toute la France, au cours de ces deux dernières années, en formant un « duo musette » avec Bastien BABAZ. »

TV@ : Avez-vous déjà vécue une anecdote sur scène, depuis le début de votre jeune carrière ?

Charlène JOUSSE : « Lors d'un gala, le printemps dernier à LESTERPS (16), pendant que je jouais avec « Ptit Louis »,  une dame m'a offert un chapelet, en guise de protection ; cela m'a beaucoup touché. » 

TV@ : Deviendrez-vous peut-être compositeur ?

Charlène JOUSSE : « J'ai déjà écrit quelques pièces pour m'entraîner, au niveau de ma formation pour les enfants.

Il s'agissait de valses et de marches très simples.

Je pense bien sûr composer plus tard quelques valses de styles, mais pour l'instant je n'ai pas vraiment le temps pour cela. »

Avant de la revoir une dernière fois sur la scène du théâtre Philippe NOIRET de DOUE-LA-FONTAINE (49), l’accordéoniste nous confie en vidéo ses projets artistiques à plus ou moins long terme. 

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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 23:05

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Depuis la semaine dernière, on s’intéresse à une jeune et talentueuse accordéoniste sarthoise, rencontrée le mois dernier à DOUE-LA-FONTAINE (49), dans la région saumuroise.

Alors qu’elle a fréquenté le « Centre National et International de musique et d'accordéon », nous lui avons demandé où elle a commencé à jouer de l’accordéon, avant même de suivre sa formation ?

Charlène JOUSSE : « Pendant un temps, j'ai joué devant ma famille, puis un peu en public, jusqu'à l'âge de treize ans, où j'ai décidé d'intégrer une école d'accordéon.»

TV@ : De quelle école s’agissait-il ?

Charlène JOUSSE : « Il s’agissait de celle de « l'Amicale Accordéoniste Mancelle », qui m’a permis d’obtenir mon B.F.M (Brevet Français Musical).

74612_AVEC-L-ORCHESTRE-DE-L-AMICALE-ACCORDEONNISTE-MANCELLE.jpgDans cette école, j'ai également intégré l'orchestre de « l'Amicale Accordéoniste Mancelle », ce qui m'a permis de monter sur scène et donc de jouer en public (photo ci-dessus).

En fait, j'ai toujours voulu faire de la musique mon métier.

Lors d'un séjour en Auvergne, j’ai visité un centre qui proposait des stages d'accordéon et une formation à temps complet, en vue d’obtenir le D.E.M (Diplôme d’Etudes Musicales), qui est le plus haut diplôme dans les conservatoires.

Ce « Centre National et International de Musique et d'Accordéon », ainsi que l'équipe pédagogique m'ont tout de suite séduite et c'est à l'âge de seize ans que j'ai fait mon premier stage. »

TV@ : Comment s’est déroulé votre stage ?

Charlène JOUSSE : «  Ce stage durait une semaine, consistait à acquérir et pratiquer la pédagogie de Monsieur MORNET.

Pour cela, nous devions apporter une ou deux pièces et mettre en pratique les exercices techniques.

Nous étions filmés le lundi au début du stage puis le vendredi pour voir les progrès (ou pas) effectués durant la semaine.

Cette dernière vidéo permettait de constater si les problèmes techniques, rythmiques ou du soufflet étaient ou non résolus. »

TV@ : Vous n’avez jamais pensé prendre un pseudo pour votre carrière artistique ?

Charlène JOUSSE : « Je ne me considère pas du tout comme une professionnelle. Je fais mes « premiers pas » dans le métier de la scène et je ne vois donc pas l'utilité d'un pseudo pour le moment. » 205077_AVEC-PASCAL-SAVARD.jpg

Au cours de son interview audiovisuelle, l’artiste se souvient de ces débuts télévisuels aux Mans, dans une émission à laquelle participait également Jérôme RICHARD (à droite sur la photo), que nous vous avons présenté avant le début de nos vacances estivales.

A suivre 

 

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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 23:04

 FEUILLES D'AUTOMNE

 

Ce mois-ci, l'un de nos fidèles lecteurs, artiste retraité angevin, nous a envoyé la vidéo ci-dessous, consacrée à un numéro de onwoman show exceptionnel, que nous vous invitons à visionner, en vous souhaitant un agréable moment de divertissement.  

 

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  • : Ce magazine multimédia présente des reportages, avec articles, photographies et productions audiovisuelles numériques, consacrés à divers sujets artistiques, culturels, de loisirs et touristiques.
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