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17 juillet 2013 3 17 /07 /juillet /2013 23:05

 cendrio_musiciens.jpg

 

Nous poursuivons notre reportage, consacré à l’artiste angevin autodidacte CENDRIO, auteur, compositeur et interprète habitant à LA MEIGNANNE (49)

Lors de notre récente rencontre, nous lui avons demandé de nous présenter chacun de ses albums.

CENDRIO : « Marcher sur le même trottoir » est le tout premier album.

Cela faisait un mois que je vivais à PARIS et que je venais de rencontrer Otis M’BAYE du label africain Mi Cora Son.

Au cours d’un rendez-vous dans son appartement, boulevard de Charronnes, il a écouté mes maquettes, avant de me dire : « On va faire un cd ».

Je concrétisais alors un rêve, c’était génial !

Je rassemblais et triais alors toutes mes compositions et je sélectionnais essentiellement celle que j’avais faite durant mon séjour au Cameroun.

Après l’enregistrement en studio, mes CD sont mis en vente un mois plus tard dans toutes les F.N.A.C.S parisiennes.

« Sept couleurs » est mon deuxième album, qui a été auto produit.

Ce n’est pas un album thématique, comme aucun de mes albums du reste.

Comme pour le précédent je prends ce que je crois être le meilleur dans mes compositions.

La chanson « Camisards » extrait de cet album rencontrera un petit succès, puisqu’il sera diffusé dans toute la France, sur plus de 160 radios locales.

De plus, cette chanson a fait partie intégrante d'un spectacle audio visuel, crée et diffusé sur près de cinquante villes et villages des Cévennes, lors de la commémoration du tricentenaire du début de la guerre des camisards (1702/2002).

Elle sera également intégrée dans le programme de la chorale Canto Cévennes d’Ales.

Une version « remixée » et plus rock sera dans mon prochain album, prévu pour septembre prochain.

Mon troisième album, intitulé « Les rayures du zèbre », a été réalisé sous le label Lest Production.

Dans cet album la chanson « Nains de jardins » dévoile mon envie forte de raconter des histoires imaginaires et de leurs donner un sens contemporain.

Une sorte de parabole des temps modernes !

« Nains de jardins » parle du génocide des nains de jardin par l’homme.

La version en live est excellente, il faut venir aux concerts !

« Ma route » est le quatrième album, signé cette fois sous le pseudo CENDRIO et non d’Emmanuel TRAVIER, ma véritable identité.

Il est composé de chansons assez diverses dans les thèmes qu’elles abordent.

« Fier », une chanson sur l’euthanasie, sera très bien relayé par la presse médicale et paramédicale, dont une couverture d’un magazine belge. Hé hé !

« Ma route », une chanson qui parle d’une rencontre toute particulière avec la mort, comparée à une pute…

Une autre chanson dédiée aux femmes ; force est de constater qu’il n’y a pas d’âge pour être si belle !

« Parlez-moi de moi », sera le cinquième album à venir, que je préfère vous présenter dans la vidéo ci-dessous. »

A suivre …

 

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 23:05

cendrio_seul-guitare.jpg 

C’est avec un réel plaisir que nous avons rencontré par hasard, en avril dernier, un sympathique auteur, compositeur et interprète angevin, auquel nous avons tout de suite proposé de lui consacrer un reportage.

Au cours d’un long entretien, il nous a confié comment il trouve généralement l’inspiration nécessaire à l’écriture de ses textes et à la composition de leur musique.

CENDRIO : « J’écris et je compose le plus souvent les textes et la musique en même temps.

Qu’est ce qui déclenche tout ça ? A vrai dire, je ne le sais pas.

Une émotion, un lieu, une phrase… sont les facteurs déclenchants.

Si je pars sur une chanson historique c’est une toute autre démarche.

Je m’impose alors des lectures et recherches de documents, pour être le plus au fait du thème, que je veux traiter.

Dans mon prochain album, je me suis imposé un exercice, dont je n’ai pas l’habitude.

J’ai repris mot à mot un texte de la Bible, qui parle de la sagesse de Job. 

Je suis très content du résultat et je vous invite à écouter cette chanson dès la sortie de mon nouvel album en septembre; vous verrez c’est sympa ! »

cendrio-.jpgTV@ : Combien de temps consacrez-vous chaque semaine à votre activité artistique ?

CENDRIO : « Je dois dire que c’est presque tous les jours que je prends ma guitare.

C’est plus qu’une habitude. Et puis je travaille aussi sur la réalisation de clip d’animation.

C’est un univers que j’aime explorer et la conception de scénario n’est pas si évidente que cela.

En plus, il y a les concerts dans quasi toute la France, plus de 45 dates par an.

Dans ces dates je compte les « shows cases », « festivals », « cafés concerts », « concerts privés »… C’est toujours l’aventure »

TV@ : Quels sont vos meilleurs souvenirs de votre carrière musicale ?

CENDRIO : « Les meilleurs souvenirs sont les concerts.

C’est là où il y a le plus d’émotions.

Entendre et voir des spectateurs, que je ne connais pas, chanter mes textes par cœur est tout simplement un pur moment de bonheur, une bouffée d’air qui donne envie de ne rien lâcher, de garder la foi, celle qui fait aller jusqu’au bout… 

Les rencontres et discutions d’après concerts et aussi les mails d’encouragements, que je reçois, sont autant de sources de réconforts et de motivations.
Que du plaisir en somme ! »

TV@ : Auriez-vous aimé vivre uniquement de votre passion pour la chanson et la musique ?

CENDRIO : « Oui bien sur, mais je vis ma passion et c’est déjà beaucoup ! »

En vidéo, l’artiste angevin revient sur l’unique expérience télévisuelle qu’il aurait pu avoir dans l’émission « La Chance aux Chansons »’sur France 2, jusqu’au moment où le défunt animateur Pascal SEVRAN en a décidé autrement.

A suivre …

 

 
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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 23:05

Cendrio_lucas_sanchez.jpg 

 

Depuis un mois, nous consacrons un reportage à l’artiste angevin CENDRIO, auteur, compositeur, interprète autodidacte.

Après nous avoir résumé ses deux années d’enseignement, passées à la frontière avec le Tchad et le Nigeria, dans l’extrême nord du Cameroun, il nous a raconté comment s’était passé son retour dans notre pays.

CENDRIO : « Dés mon retour et ne trouvant pas de travail, j’ai repris mes études, en décidant de me réorienter en préparant la formation d’infirmier à la Maison de Santé Protestante de NIMES.

Durant les trois ans et demi de formation, Valérie une camarade de promotion m’a permis de rencontrer Lucas SANCHEZ (photo ci-dessus à gauche), un artiste de Lunel dans l’Hérault. Avec lui j’ai enregistré ma première maquette « Au bout des poches ».

Notre collaboration ne cessera jamais à partir de ce moment là. 

Infirmier diplômé depuis 1995, j’ai continué à collaborer avec Lucas. Notre rencontre a été pour moi un vrai déclic et c’est ainsi qu’est née cette folle envie de me consacrer un peu plus à la musique.

Pour mon premier travail d’infirmier, je suis parti sur PARIS, où j’ai fait la connaissance d’Otis M’BAYE, directeur artistique du label africain « Mi Cora Son» collaborateur de Manu DIBANGO, grâce à une collègue infirmière, amie de ce dernier.

Mon séjour en Afrique n’est pas étranger à cette rencontre et Otis M’BAYE décida de produire mon premier album, sous mon nom civil d’Emmanuel TRAVIER, après audition d’une maquette de mes chansons.

Deux autres albums ont ensuite vu le jour, mais avec le label Lest Production, localisé en Rhône Alpes.

Album-Ma-route-bis.jpgC’est seulement en 2009, que j’ai décidé de prendre le pseudo de CENDRIO.

Si ce nom n’a pas de signification proprement dite, il évoque un personnage imaginaire, comme cela a été précisé dans le premier article.

Même si je m’inspire d’un imaginaire décalé pour inventer des situations, des personnages dans mes chansons, je reste toujours très sensible à ce qui m’entoure, en aimant particulièrement écrire sur des thématiques beaucoup plus sérieuses inspirées par l’actualité et par des expériences vécues. »

TV@ : Quels sont vos artistes préférés et vous en inspirez-vous ?

CENDRIO : « Aujourd’hui je n’ai pas vraiment d’artistes préférés.

J’apprécie toujours ceux d’avant, mais avec plus de retenu.

Je ne suis plus vraiment le vrai fan au sens réel du terme.

Cela dit, je suis avec intérêt le parcours des uns ou des autres et plus particulièrement celui des artistes que je croise et connaît personnellement.

C’est une dimension beaucoup plus humaine.

Je reste aussi très ouvert à la découverte, j’aime des styles de musiques différents et grâce à Internet, je passe pas mal de temps à écouter ce que font les autres. »

Lors de son interview audiovisuelle, l’artiste angevin nous a confié qu’il n’a jamais fait de rencontre musicale majeure, avec un artiste ou musicien très connu et reconnu, car ce n’est vraiment pas une finalité pour lui.

A suivre … 

 

 

 

 

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26 juin 2013 3 26 /06 /juin /2013 23:05

cendrio_portrait.jpg 

On se retrouve à nouveau pour faire la connaissance de l’artiste angevin CENDRIO, dont la véritable identité est Emmanuel TRAVIER, un habitant du petit village de LA MEIGNANNE, situé à 11 km au nord-ouest d'Angers, dans le Maine-et-Loire.

Alors qu’il a effectué son service national au Cameroun, nous lui avons demandé s’il avait eu des expériences musicales, avant d’aller en Afrique ?

CENDRIO : « Non, avant mon service national je n’ai eu que très peu d’expérience musicale à proprement dite, si ce n’est des heures entières passées avec ma guitare et un bloc note ! ».

Mais à y réfléchir à deux fois, je me rappelle que mon premier public a été les patients d'une clinique Psychiatrique où j'effectuais un stage. C'était original comme expérience. »

TV@ : Quels diplômes scolaires avez-vous obtenus, avant de quitter notre continent ?

CENDRIO : « Après mon bac d’électrotechnicien, j’ai décroché un BTS d’assistant Ingénieur à Ales dans le Gard et du D.U « contrôle de processus en micro informatique » sur Montpellier. »

TV@ : Cela vous a permis d’enseigner les mathématiques en Afrique ?

CENDRIO : « Oui, à partir de l’année 1989.

A l’âge de vingt et un ans, je suis parti en coopération, avec un sac de 20 kg sur le dos, pour effectuer mon service militaire, pendant deux ans, sur le continent africain et plus précisément dans l’extrême nord du Cameroun, à la frontière avec le Tchad et le Nigeria.

Pendant cette période, j’ai exercé le métier professeur de mathématiques au centre technique de MAROUA.

Mes élèves étaient pour certains plus vieux que moi.

cendrio_en_cevennes.jpg

Je me dois de vous préciser que je n’étais jamais sorti de mon village des Cévennes, alors  ce fut le choc, mais quel choc !

Tout dernièrement j’ai repris les nombreuses notes que j’avais écrites lors de ce séjour au Nord Cameroun et j’en ai fait un petit livre, comme un témoignage en quelque sorte, alors si cela intéresse un éditeur…

Mais partir est une expérience que je conseille aujourd’hui à beaucoup et que j’encourage volontiers.

Comment dire ?

Vous partez avec vos certitudes, avec l’envie et le sincère désir d’apporter des connaissances et un savoir, mais au final c’est vous qui recevez et en revenez grandi.

Cela ne s’explique pas, cela se ressent, c’est un peu comme la foi, c’est profond.

Durant mon séjour sur le continent africain, j’ai profité au maximum de la richesse du pays, pour écrire des chansons en m'imprégnant des couleurs et de l’ambiance. » 

Au cours de notre entretien audiovisuel, il nous a expliqué la raison pour laquelle il a  changé d’orientation professionnelle, à son retour d’Afrique.

A suivre … 

 

 
 
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19 juin 2013 3 19 /06 /juin /2013 23:05

  premier_concert2.jpg

 

Depuis la semaine dernière, on s’intéresse à l’auteur, compositeur et interprète angevin Emmanuel TRAVIER, plus connu sous le pseudonyme de CENDRIO.

Lors de notre rencontre, le mois dernier, il nous a raconté ses débuts musicaux ?

CENDRIO : « C'est à l'age de 17 ans, que j'ai eu entre mes mains ma première guitare chipée à mon frère.

Sans plus tarder et avec un désir effréné, j’ai commencé à écrire des textes et des mélodies.

C’est ainsi que j’ai découvert un véritable moyen de communication et de satisfaction profonde.

Au fil des ans, l'engouement d'écrire est resté le même, il s'est intensifié au point de devenir une véritable passion.

Parallèlement à toutes ces années, j’ai chanté régulièrement des chants gospels et religieux au sein d’une petite chorale locale.

TV@ : Quels étaient les thèmes de vos premiers textes, écrits pendant votre adolescence ?

CENDRIO : « Ou-ah ! L’adolescence !

Les thèmes sont plutôt sombres. Inspirés de ce que je vis, j’entends et ressens autour de moi et de ce que traverse le monde.

Monde que je veux refaire bien sur !

Mes révoltes, mes interrogations, mes complexes, mes amis, mes amours et mes emmerdes.

Tout ça avec toujours cette même idée que du sombre et du noir sort un jour ou l’autre de la lumière ! »

premier_concert1.jpg 

TV@ : Vous souvenez-vous de vos débuts sur scène, en public.

CENDRIO : «  Bien sûr, c’est à l’occasion de la fête de la musique à NIMES en 1994, que j’ai fait ma première apparition sur scène.

Je me suis fait violence ce jour là, car j’étais très timide et surtout convaincu que mes chansons ne passionneraient personne. »

Lors de son interview vidéo, il est revenu sur sa première prestation en public.

A suivre …

 

 

 

 

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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 23:05

cendrio_affiche.jpg 

Durant ces prochaines semaines, nous allons faire la connaissance d’un auteur, compositeur et interprète angevin de quarante-cinq ans, natif d’Alès, dans le Gard, identifié sous le pseudonyme de CENDRIO, depuis 2009.

Si ce nom n’a pas de signification proprement dite, il évoque un personnage imaginaire et/ou réel qui suscite curiosité, voire même interrogation.

Cette dualité lui convient d’ailleurs très bien et lui colle à la peau !

En effet, il s’inspire d’un imaginaire décalé pour inventer des situations, des personnages dans ses chansons.

Il reste toujours très sensible à ce qui l’entoure, en aimant particulièrement écrire sur des thématiques beaucoup plus sérieuses, inspirées par l’actualité et par des expériences vécues.

Dernier d’une fratrie de trois enfants (deux garçons et une fille), Emmanuel TRAVIER, de son vrai nom, avait un père comptable, originaire des Cévennes, et une mère italienne de Toscane, auxiliaire de vie.

Marié et père de trois enfants (6, 10 et 12 ans), l’artiste vit depuis deux ans à LA MEIGNANNE, une commune rurale d’un peu plus de deux mille habitants, située à 11 km au nord-ouest d'Angers.

cendrio-enfant.jpg

Lors de notre rencontre, nous lui avons demandé la raison pour laquelle il a décidé de vivre à cet endroit, avec sa petite famille.

CENDRIO : « Nous avons été amenés à vivre dans cette belle région qu’est l’Anjou, pour des raisons professionnelles »

TV@ : Quelles étaient vos idoles durant votre enfance ?

CENDRIO : « Au niveau francophone, j’ai très longtemps été fan de Francis CABREL.

C’est d’ailleurs lui qui m’a donné envie de faire des chansons et c’est grâce à les siennes que j’ai pu apprendre la guitare, en autodidacte.

Je passais des heures à déchiffrer ses grilles d’accords et ses arpèges.

En fait, je n’ai quasiment jamais acheté des partitions.

Maintenant avec Internet, elles sont accessibles en un clic… et c’est super !

cendrio_ado.jpg

En parallèle j’écoutais beaucoup Charlelie COUTURE.

Et j’aime la façon dont il impose ses univers en quelques notes et en quelques mots.

Ses chansons sont toujours très visuelles, avec le souci du détail qui pose bien le décor.

Plus tard ce sera BRASSENS, plus pour son jeu de guitare que pour son texte.
Téléphone aussi a fait parti de mon univers.

En international, Michael JACKSON et son « Thriller »… grandiose !

Enfin, j’ai eu aussi une période ZAPPA, QUEEEN, The DOORS, CATS STEVENS, The BEATLES. Et j’en oublie certainement ! »

Lors de son interview audiovisuelle, l’artiste nous a confié qu’aucune personne n’avait été musicienne, dans sa famille.

A suivre … 

 

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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 23:04

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C'est avec plaisir que nous recevons régulièrement des documents audiovisuels, transmis par nos fidèles lecteurs.

Parmi eux, un intermitent du spectacle sarthois, désormais à la retraite, nous a envoyé la vidéo ci-dessous, que nous avons eu envie de diffuser dans ce magazine multimédia, consacré aux Arts, à la Culture, aux Loisirs et au Patrimoine.

Comme l'écrivait l'un de nos confrères, le 17 mai dernier, "La beauté ne fait généralement pas d'ombre... sauf exception. Superbe et plein de poésie : Hungarian shadow-theatre company ‘Attraction’ leaves the Britain’s Got Talent crowd and judges in tears." 

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5 juin 2013 3 05 /06 /juin /2013 23:05

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Une fois encore, l'une de nos fidèles lectrices saumuroises nous a adressé, le mois dernier, une vidéo concernant un incroyable acrobate contorsioniste.

Rappelons que la contorsion est une discipline acrobatique pratiquée au cirque et en gymnastique.

Elle est basée sur des mouvements de flexion et d'extension extrêmes du corps humain.

Elle nécessite une importante souplesse, une aptitude physique souvent naturelle, associée à un long et douloureux entraînement qui commence dès l'enfance.

La plupart des contorsionnistes se plient soit vers l'avant ou vers l'arrière.

Il est rare qu'un même contorsionniste puisse réaliser les deux ; son numéro sera alors considéré comme très abouti.

Comme d'autre arts visuels, un numéro de contorsion peut induire maintes réactions émotives, en fonction de la chorégraphie ou des tenues vestimentaires, mais aussi de la personnalité et l'adresse de l'artiste.

Le contorsionniste peut choisir entre un style de présentation agréable et élégant, athlétique, mystérieux, choquant, sensuel, voire érotique ou encore humoristique.

Chaque spectateur aura toujours sa préférence pour l'une ou l'autre.

Le numéro que l'on vous diffuse aujourd'hui ne devrait pas vous laisser indifférent(e); croyez moi !

   

 

 

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 23:05

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Une lectrice saumuroise nous a transmis, le mois dernier, cette vidéo concernant un jeune autiste chanteur et pianiste français qui ne manque pas de talent, comme vous pouvez le constater en visionnant la vidéo ci-dessous.

Au préalable, il nous semble intéressant de vous communiquer également cet émouvant témoignage, trouvé su Internet, à propos de cette chanson et de l'autisme.

Cette chanson si douce symbolise ce que l'autisme devrait représenter, si les traitements adaptés étaient systématiquement appliqués précocement envers les enfants avec autisme, juste une différence au milieu de tant d'autres.

Elle est très émouvante, si authentique, si touchante et si optimiste, elle lève le voile sur une autre monde, un monde empli de tolérance, de douceur et d'espoir, qui apparaît pourtant bien lointain de notre quotidien fait de "douces violences", les personnes avec autisme sont très souvent douces, plutôt gaies et bienveillantes, à condition d'être entourées d'un amour bienveillant, qui les poussent à "l'excellence", en somme comme tout à chacun, même si cela prend plus de temps, parfois même beaucoup de temps.

Cela apparaît très utopique, vu le contexte français qui ne semble pas être prêt à légaliser la reconnaissance de l'autisme, comme trouble du neuro-développement nécessitant des traitements éducatifs et comportementaux adaptés à la spécificité autistique de chaque enfant , établis dans le cadre d'un programme révisable en fonction des progrès et des difficultés rencontrés par l'enfant pour une prise en charge évoluant au plus près des apprentissages.

Cette chanson donne à rêver, elle parle d'un monde où toutes les personnes seraient appréciées pour ce qu'elles sont et non pour ce qu'elles devraient être, pour une soit disant "intégration réussie", en fait formatées pour la tranquillité sociale.

Pourtant la différence est source de richesse pour tous, l'addition des compétences de chacun rend meilleur, ouvre des portes sur le savoir, sur la pensée humaine, où les idées se confrontent, s'opposent, se complètent. 

N'hésitez pas à consulter le site de la Fondation Lou

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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 23:05

Miyoko-shida.jpg

 

Une fois encore, l'une de nos fidèles lectrices angevine nous a communiqué ce document audiovisuel exceptionnel !

A l'âge de 52 ans, Miyoko Shida Rigolo, a présenté une performance remarquable, en faisant tenir une plume en équilibre sur plusieurs bouts de bois, qui se supportent entre eux.

Ne ratez pas la dernière action, qui donne une belle fin au spectacle. 

 

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  • : Ce magazine multimédia présente des reportages, avec articles, photographies et productions audiovisuelles numériques, consacrés à divers sujets artistiques, culturels, de loisirs et touristiques.
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