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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 23:05

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Depuis un mois, nous faisons la connaissance d’un jeune accordéoniste, natif de CHOLET (49), que nous avons rencontré à l’occasion du bal annuel de l’A.M.S.S.A (Association Musicale du Sud-Saumurois et de l’Argentonnais), qu’il animait en février dernier, avec sa formation.

Au cours de notre entretien, il nous a confié que, durant ces dix dernières années, son orchestre a évolué avec différents musiciens.

Jérôme RICHARD : « Plusieurs raisons expliquent le changement de formation, au fil du temps. En dehors de mon fidèle batteur, qui est toujours resté à mes côtés, les autres musiciens ont quitté ma formation, pour prendre leur retraite ou se lancer dans d’autres projets professionnels, mais aussi pour des raisons de santé, sans oublier aussi la réduction budgétaire.

DSCF1819.JPGDepuis 2010, nous avons fusionné avec mon frère Mickaël (au centre sur la photo), également accordéoniste, chanteur, clavier. Désormais, notre formation est composée de cinq musiciens sur scène (y compris deux cuivres). » 

TV@ : Où votre orchestre s’est-il déjà produit ?

Jérôme RICHARD : « Il a sillonné les routes de France et même celles de l’étranger (Belgique, Suisse, Allemagne, Italie, Espagne, Portugal, Norvège, Finlande, Etats Unis, Chine, etc …), pour faire danser les amoureux des bals populaires. »

TV@ : Comment expliquez-vous le succès de votre formation ?

Jérôme RICHARD : « De part la jeunesse et le dynamisme des musiciens et du répertoire. 

La notoriété de l’orchestre vient sans doute par sa qualité musicale vivante, dynamique, festive et dansante.

Les organisateurs de spectacles sont très nombreux à le solliciter chaque année, car ils savent que leur soirée sera une réussite. Pour certains, cela reste d’ailleurs un événement prestigieux et exceptionnel !

Le public ne se trompe pas non plus et n’hésite pas à se déplacer, souvent même de très loin, car il sait que notre répertoire est très varié. »

TV@ : Pouvez-vous nous dresser la liste de vos prestations en public ?

Jérôme RICHARD : « Depuis dix ans, les références de ma formation musicale sont assez nombreuses.  »

A suivre … 

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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 23:05

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Nous poursuivons notre reportage, consacré au jeune et talentueux accordéoniste Jérôme RICHARD, de LA CHAPELLE-S/ERDRE (44).

Nous avons profité du bal annuel de l’A.M.S.S.A (Association Musicale du Sud-Saumurois et de l’Argentonnais), qui s’est déroulé le 12 février dernier, à BRION, dans le Maine-et-Loire, pour lui demander à quels concours d’accordéon il a participé, au début de sa carrière musicale.

Jérôme RICHARD : « Avant tous les concours internationaux, mon professeur me faisait participer aux concours nationaux ACF (accordéon Club de France).

Mon premier concours international remonte à 1992, avec celui du Petit prodige de l’accordéon (sélectionné par Maurice LARCANGE).

Je vous laisse découvrir la liste des différents autres concours internationaux, auxquels je me suis distingué :

1997 : Prix coupe mondiale variété, Suisse

1998 : Prix trophée mondial variété, Italie
          Prix concours international de KLINGENTHAL, Allemagne
          Prix concours international de CASTELFIDARDO, Italie

1999 : Prix coupe mondial classique, Allemagne
          Prix trophée mondial classique, Espagne

2004 : Prix Gus VISEUR

2005 : Prix Francis BAXTER (décerné par le comité du cœur SACEM)
          Prix Art VANDAMME (USA) »

TV@ : Quels ont été vos débuts d’accordéoniste sur scène ?

Jérôme RICHARD : « Mon premier bal remonte à l’âge de douze ans, où j’ai joué avec des copains choletais, pour animer des mariages. »

AVEC-MAURICE-LARCANGE-EN-THE-DANSANT.jpgTV@ : Qu’avez-vous fait de 2000 à 2004 ?

Jérôme RICHARD : Après les concours internationaux, je suis parti en tournée dans la France entière, avec trois spectacles différents pour les « Jeunesses Musicales de France. »

En 2000, j’ai enregistré mon premier album, en collaboration avec Maurice LARCANGE (en photo, ci-dessus), chez RDC Records.

Deux années plus tard, j’ai formé mon propre orchestre, comprenant onze éléments.

En parallèle, j’ai réussi à sortir mon second album et fait plus de 180 passages TV, dans l’émission « La chance aux chansons », présentée par Pascal SEVRAN. »

A suivre …  

 

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23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 23:04

A L'ACCORDEON

 

Depuis la semaine dernière, nous consacrons une série d’articles à un jeune accordéoniste choletais, habitant désormais à LA CHAPELLE-S/ERDRE, en Loire-Atlantique.

Au cours de l’entretien, qu’il nous a accordé à l’occasion du bal annuel de l’A.M.S.S.A (Association Musicale du Sud-Saumurois et de l’Argentonnais), il nous a confié que sa passion musicale n’a pas perturbé sa scolarité.

Jérôme RICHARD : « Ne pratiquant pas de sport, il était simple d’allier la musique et l’école ».

TV@ : En dehors de la musique, aviez-vous envisagé d’exercer un autre job professionnel ?

Jérôme RICHARD : « Tout à fait et, avant de me lancer complètement dans la musique, je suivais des études commerciales, en vue de pouvoir faire carrière dans ce domaine. »

TV@ : Avez-vous bénéficié du soutien de vos proches, pour devenir musicien ?

Jérôme RICHARD : « Mes parents m’ont toujours soutenu, mais jamais pousser.

Là, est la différence ! »

TV@ : A quel moment avez-vous décidé de vous consacrer totalement à l’accordéon ?

Jérôme RICHARD : C’est à l’âge de seize ans, lors de ma première participation à la coupe mondiale d’accordéon en Slovaquie, où j’ai décroché la sixième place.

C’est à ce moment-là que j’ai véritablement pris conscience de mon avenir artistique. 

Là-bas, j’ai découvert des accordéonistes du monde entier et d’un niveau extraordinaire !

Avec-Frederic-Deschamps-sur-un-plateau-TV.jpgUn an plus tard, la rencontre avec Frédéric DESCHAMPS fut déterminante, en décidant de travailler mon instrument préféré avec lui, au conservatoire du IXème arrondissement de PARIS, où je me suis consacré entièrement à la musique. »

TV@ : Certains célèbres accordéonistes vous ont-ils inspiré, lorsque vous êtes entré au conservatoire parisien ?

Jérôme RICHARD : « À vrai dire, j’écoutais très peu d’accordéon à cette période. Je m’intéressais surtout au Jazz, à la pop, musique du monde (Martial SOLAL, Bireli LAGRENE, Michel CAMILO, Richard GALIANO, Tito PUENTES, André CECCARELLI), car j’avais aussi une grande passion pour la batterie. »

A suivre … 

 

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9 mai 2012 3 09 /05 /mai /2012 23:05

AFFICHE-copie-2.jpg

 

Nous avons profité du bal annuel de l’A.M.S.S.A (Association Musicale du Sud-Saumurois et de l’Argentonnais), pour rencontrer un jeune et talentueux accordéoniste choletais, six fois champion du monde dans sa catégorie.

Nous allons lui consacrer une série de reportages, afin de faire sa connaissance et découvrir ainsi son parcours artistique.

Agé de 31 ans, ce jeune musicien est natif de CHOLET, dans le Maine-et-Loire, où ses parents vivaient lorsqu'il est venu au monde.

Nous avons demandé à ce jeune accordéoniste s’il y avait déjà des musiciens dans sa famille, ayant pu l’influencer dans ce domaine artistique.

Jérôme RICHARD : « Mon oncle et ma tante pratiquaient déjà l’accordéon en amateurs, mais je pense que c’est surtout Mikaël, mon frère aîné (de trois ans) qui, ayant commencé à jouer de cet instrument deux années auparavant, m’a sans doute le plus influencé, dans mon choix. » 

TV@ : Pouvez-vous nous préciser à quel moment vous avez eu envie de vous intéresser à la musique ?

Jérôme RICHARD : « Après avoir découvert l’accordéon, à l’âge de 5 ans, cette envie est venue quelques années plus tard, en découvrant des grands noms de l’accordéon, tels que Maurice LARCANGE, Richard GALLIANO, Joss BASELI, Médard FERRERO, Marcel AZZOLA …) ».

TV@ : De quelle manière avez-vous commencé votre initiation musicale ?

Jérôme RICHARD : « La première année, mon professeur me faisait travailler uniquement le solfège et les années suivantes il m’a fait découvrir l’instrument, tout en continuant le solfège.

En parallèle, je me suis également perfectionné au conservatoire (classe d’écriture et d’harmonie).» 

TV@ : Etre contraint d’apprendre le solfège, avant de commencer à jouer de l’accordéon, ne vous a pas découragé ?

Jérôme RICHARD : « Le fait d'apprendre durant une année le solfège, avant la pratique de l'instrument, ne m'a pas dérangé.

Ayant débuté l'accordéon avant moi, mon frère  m'avait bien fait comprendre qu'il fallait les bases.

Au final, je savais lire la musique avant même de savoir lire.

Commençant très jeune, je pense qu'il est plus facile de mémoriser et d'intégrer toutes ces nouvelles données ».

TV@ : Avez-vous constaté rapidement vos prédispositions pour la musique et plus particulièrement pour l’accordéon ?

Jérôme RICHARD : « Oui, car mon professeur au conservatoire de Cholet me disait : « Tu as de la chance car tu as l’oreille absolue ».

Dès l’âge de dix ans, je prenais plaisir à recopier des thèmes ou improvisations, que j’écoutais avec mon lecteur cassettes ».

Nous vous invitons à visionner quelques extraits du DVD, enregistré avec son orchestre au dancing « Le Point de Vue », situé à Laz (29).

A suivre …  

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2 mai 2012 3 02 /05 /mai /2012 23:05

JORDAN-ET-TATIANA.jpg

 

Une fois de plus, l'un de nos fidèles lecteurs nous a transmis cette vidéo, consacrée à Jordan & Tatiana, un couple de remarquables danseurs américains, filmé en 2009. 

 

 

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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 23:05

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Nous terminons notre reportage, consacré à une artiste angevine qui fait le point sur sa carrière de chanteuse.

Didi HUGO : « Pour l’instant, je tourne beaucoup dans tout « le grand ouest » grâce à mes différentes prestations de chansons et de théâtre dans les établissements, pour personnes âgées.

J’aimerais me produire beaucoup plus sur scène pour mes deux spectacles « cabaret » que j’ai mis en scène, grâce à ma rencontre avec Christian BOUTIN, un merveilleux pianiste angevin. Il s’agit de « Clair de l’une au bord de l’autre »d’Anne SYLVESTRE à BARBARA ; un récital pour surfer sur les vagues tumultueuses des sentiments…, ainsi que « tout feu, tout femme », un patchwork de chansons féminines et légères, qui vont de MISTINGUETT à Yvette GUIBERT, en passant par Juliette GRECO, PATACHOU, Marie-Paule BELLE et bien d’autres… »

TV@ : Quels sont vos projets à plus ou moins long terme ?

Didi HUGO : « Je suis en préparation d’un nouveau spectacle, avec mon ami Jean-Yves REVAULT, qui s’adresse à un public âgé.

En cette fin d’année 2011, je suis d’ailleurs en pleine démarche promotionnelle, pour que nous puissions nous produire, avec Christian, un peu partout où l’on voudra nous accueillir.

Nous avons beaucoup à donner sur scène. On a l’un et l’autre envie de vous enchanter, émouvoir, faire rire et pleurer, voilà notre programme.

Aujourd’hui quand je chante, je donne tout. J'endosse la peau de quelqu'un d'autre et en même temps je me sens tellement moi-même !

Cela est vrai quelque soit le répertoire que j’interprète, suivant mes différents spectacles, à savoir :

- Un répertoire de chansons du siècle dernier, que j’interprète dans tous les établissements pour personnes âgées.

C’est fantastique de voir nos anciens retrouver leur jeunesse, chanter aussi, être émus.

Dans ces moments de partage, je me sens pleine d’amour pour eux et je reçois, pour mon plus grand bonheur, celui qu’ils m’offrent en retour.

- Les deux spectacles « cabaret » indiqués ci-dessus…

J’aimerais aussi monter un spectacle sur la base des chansons que j’ai écrites et composées.

A ce propos, j’espère les réenregistrer un jour, avec plusieurs musiciens.

Et pourquoi pas aussi faire aboutir toutes ces chansons, qui sont encore dans mes cartons, chansons créées sur mon vélo, tandis que je pédalais au fil de ma vie ? »

Dans la vidéo ci-dessous, l’artiste nous présente succinctement les principales chansons, dont elle est l’auteur, et qu’elle souhaite sortir un jour ou l’autre de ses cartons.  

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18 avril 2012 3 18 /04 /avril /2012 23:05

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  Apremont (85), Juillet 2010 - Crédits Photos : Violaine RENAUDIN - Copyright 2010

 

Depuis la semaine dernière, nous consacrons une série d’articles à une artiste angevine, que l’on a rencontrée au début du mois de décembre dernier.

Lors de son interview, nous lui avons demandé de nous parler de ces plus importants spectacles et elle nous a alors répondu :

Didi HUGO : « Le prochain…c’est toujours celui qui se prépare le plus important ! »

TV@ : Avez-vous déjà enregistré un ou plusieurs CD ?

Didi HUGO : « J’ai enregistré un CD de dix chansons de mon cru…qui l’eut cru ?

Je considère ce CD comme une maquette, car je m’accompagne moi-même avec les orchestrations que j’ai mises en place, grâce à mon synthé (je ne suis absolument pas musicienne!) »

TV@ : En plus d’être l’auteur de certaines chansons que vous interprétez, avez-vous aussi écrit certaines pièces théâtrales, dans lesquelles vous avez incarné un personnage ?

Didi HUGO : « J’ai écrit seule plusieurs pièces théâtrales et avec la collaboration de mon ami Jean-Yves REVAULT (photo ci-dessous), pour un public de personnes âgées, que nous jouons dans les établissements qui les accueillent.en foyer-logement, maison de retraite …. »

DSCF1505_retouche.JPGTV@ : De quelle manière avez-vous été amenée à vous intéresser aux soins palliatifs et à évoquer le thème de « la fin de vie », de manière théâtrale ?

Didi HUGO : « C’est à l’occasion des 25 ans de l’association J.A.L.M.A.L.V (Jusqu’à la mort Accompagner la vie)  que connaissais bien J-Yves, que l’on nous a demandé d’écrire un spectacle, sur ce thème délicat et difficile à aborder.

Dans le cadre d’une soirée thématique sur la fin de vie, ce spectacle est un bon moyen d’introduire le sujet. »

TV@ : A quel public était destiné ce spectacle et où le présentiez-vous ?

Didi HUGO : « Les soignants, toutes les personnes concernées pour avoir un proche en fin de vie, enfin plus largement au grand public qui se sent concerné et qui se questionne sur sa propre mort.

C’est un spectacle que nous jouons pour des associations qui font de l’accompagnement auprès des personnes en fin de vie. »

TV@ : De quelle manière se terminait chaque représentation, que vous interprétiez en duo ?

Didi HUGO : « Bien souvent, il y avait un débat avec des professionnels et des accompagnants,  voulant présenter et mieux faire connaître leur travail et les besoins de former d‘autres personnes bénévoles. »

Au cours de son interview audiovisuelle, elle nous a confié ce qu’elle souhaitait comme fin de vie, comme d'ailleurs à tous les gens malades.

A suivre …  

 

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 23:05

didihugo_0941.jpg

  Apremont (85), Juillet 2010 - Crédits Photos : Violaine RENAUDIN - Copyright 2010

 

Au début du mois de décembre dernier, nous avons été amenés à rencontrer la chanteuse « Didi HUGO », qui animait une « soirée-cabaret » à DOUE-LA-FONTAINE, dans le Maine-et-Loire.

Nous en avons profité pour lui demandé de nous décrire son parcours personnel, qui lui permet désormais de vivre de sa passion : la chanson.

Cela dit, Didi HUGO a aussi plusieurs autres facettes artistiques, comme nous le découvrirons ensemble, au cours de ces prochaines semaines.

Elle nous raconte tout d’abord ses débuts artistiques.

Didi HUGO : « Tout a commencé dans mon enfance. A l’école primaire, avec une copine, je « montais » déjà des spectacles (mettre en scène une histoire illustrée par des chansons) sur des reprises de chansons de l’époque – merci Claude FRANCOIS, Michel SARDOU… - et dès que nous étions prêtes, dans la cour de récré, le public arrivait.

Quel bonheur pour moi la timide, de chanter, de danser, de n’avoir plus aucune peur !

Envolée la petite fille, souvent mal habillée, qui en classe perdait tous ses moyens, rougissait à tout bout de champ …

Là, j’étais reine !

On m’applaudissait, je me sentais vivante, j’existais…

En fait, j’ai toujours chanté; dans la salle de bain, dans ma chambre devant ma glace, et là je rêvais.

Comme le dit si bien Aznavour… « Je m’voyais déjà » (rire !).

Mais en fait, ce rêve-là est resté longtemps inaccessible; trop beau, trop haut !

J'ai tout de même eu quelques tentatives de jeunesse dans différents « petits » groupes de rock, à l'époque connus d'une poignée d'adeptes seulement… oubliés aujourd'hui. »

TV@ : Qu’avez-vous fait ensuite ?

Didi HUGO : « Je suis venue à la chanson sur le tard, après un parcours un peu chaotique. Quand j’étais plus jeune, j’ai fait toutes sortes de « petits boulots », comme des saisons (serveuse entre autres dans différents cafés-concerts (là, j’ai aimé sentir l‘énergie particulière, cet instant précis où l‘artiste arrive sur scène, avec toute sa fragilité liée au stress, mais aussi avec toute sa force (impossible de faire demi-tour).

Des moments cruciaux, des moments magiques où l’invisible devient presque palpable).

J’ai appris également la taille de pierre et la sculpture d’ornements. Puis bien plus tard, j’ai été animatrice dans un hôpital local. C’est dans ce cadre que j’ai expérimenté la chanson et le théâtre.

À mes heures « perdues » j’ai éprouvé la nécessité d’écrire pour libérer des sensations, des ressentis, que j’avais besoin de sortir de moi…

C’est devenu des chansons que j'ai mises en musique, avec les moyens du bord, à savoir un synthétiseur BONTEMPI (Bon ! Temps pis ! - qu‘est ce que je risque ?-)

Quelques unes de mes chansons ont plu et j'ai été sélectionnée à différents tremplins à ANGERS (49) et plus exactement aux «  Chabada » et « L'Autrement café »; ce qui m'a encouragée à continuer dans cette expression artistique. »

Dans la vidéo ci-dessous, nous vous présentons quelques extraits du spectacle de l’artiste, de la soirée-cabaret douessine.

A suivre … 


 

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4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 23:05

dayan eve angeli

 

Nous terminons le reportage consacré au chanteur lyrique breton Dayan, qui est entré en 2001, à l’école d’Alice DONA.

Alors qu’il avait rencontré, deux ans plus tôt, la chanteuse NAYAH, lors de sa sélection à l’Olympia, pour représenter la France au Grand de l’Eurovision 1999, cette dernière est devenue sa marraine et l’invita à assurer les premières parties de ses concerts.

En 2002, il rencontra la chanteuse Eve ANGELI (en photo), au cours d'une émission télévisée sur le câble, Fun TV. Ensemble, ils interprétèrent « Savoir aimer », un succès de Florent PAGNY, en compagnie du groupe A ONE.

TV@ : A quel moment avez-vous enregistré votre premier album ?

Dayan : « En 2003, sous le titre « Renaissance » avec douze chansons. »

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TV@ : En étiez-vous à la fois l’auteur-compositeur et interprète ?

Dayan : « Non, j’étais juste interprète. Ce fut pour moi la pire expérience car, dans le métier d’artiste, nous pouvons tomber sur des choses vraiment pas à votre goût. Ce fut d’ailleurs le cas avec cette expérience-là ; je suis tombé en plein dedans.

En fait, il s’agissait de chansons écrites pour quelqu’un de plus âgé que moi, dans un style variété populaire. De plus, les séances d’enregistrement se déroulaient dans un studio non professionnel, avec un pseudo agent qui n’en était pas un.

Tout cela pour vous dire que nous ne sommes jamais à l’abri de quoi que ce soit et qu’il faut donc se protéger au maximum de ces individus. Attention aux escrocs !!! »

TV@ : Quelle a été la suite de votre carrière ?

Dayan : « Après cet album, je me suis consacré à ma promotion et à quelques galas, à travers la Bretagne.

En 2004, j’ai gagné le concours de « Pluie d'étoiles », un concours national de la chanson française,  présidé par l’auteur et compositeur Gérard LAYANI ; « Requiem pour un fou » pour Johnny Hallyday, et la chanteuse SEVERINE « Un banc, un arbre, une rue » la grande gagnante du concours de l'eurovision 1971, où la chanteuse française est tombée sous le charme de DAYAN.

« En 2005, je me suis enfermé en studio, pour poser ma voix sur un second album « Pop lyric » qui résumait l'émotion d'une voix pure et cristalline.

En 2007 j’ai entrepris le tour de l'Europe avec mon show « Astra Stella » ; une représentation « son et lumière » autour de la richesse d'une voix de castrat. »

TV@ : Comment définissez-vous votre voix ?

Dayan : « La voix des anges » qui me permet de présenter au public un nouveau concept de chant et d'interprétation vocale.

Tout cela sous forme de reprise des chansons par ordre de popularité, à la fois italienne et internationale, d'une voix d'opéra classique, sous les influences d'orchestre à la contamination sons et les rythmes de la pop ; tout un programme !

Dayan-nicoletta9_retouche.jpg

TV@ : Quelles ont été vos principales prestations, ces dernières années ?

Dayan : « En 2008 et 2009, j’ai eu la chance d’assurer les premières parties de gala de NICOLETTA et Patrick ADLER.

L’an dernier,  la chaîne télévisée IDF1 m’a proposé de venir chanter pour la promotion de mon dernier album, intitulé « « A la source ».

Pour terminer, l’artiste nous parle en vidéo de son dernier clip, réalisé en bretagne.   

 

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28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 23:05

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Depuis la semaine dernière, nous consacrons une série d’articles à un chanteur breton, ayant une voix assez exceptionnelle.

Nous lui avons demandé de nous raconter son parcours scolaire jusqu’au conservatoire.

Dayan : « Mon parcours scolaire a été tout à fait normal et je vous avoue que j’ai encore la tête dans les étoiles, avec l’obtention de plusieurs diplômes, tels que  BEP CAP Vente Action Marchande, BAC PRO Commerce, BTS action commerciale Option Européenne.»

TV@ : Qu’avez-vous retenu de vos études musicales ?

Dayan : « Avec mon professeur Madame Lynn BARBER, j’ai découvert les rudiments du métier à savoir : déchiffrer, composer, interpréter la musique. Avec elle, nous avons une réelle complicité, car elle connait mes cordes vocales et ma manière d’être et surtout d’interpréter.

J’ai toujours eu conscience de cette particularité de chanter avec une voix aigüe. Je me suis vraiment impliqué dans cet art pour comprendre aussi pourquoi et qu’elles étaient les choses importantes à retenir avec une voix comme la mienne.

L’enseignante vous dirait que le chant, c’est tout simplement un bâillement et une caresse continuelle…. »

TV@ : Quel type de chansons interprétiez-vous ?

Dayan : « J’ai chanté des oeuvres baroques, une signature évidente pour ma voix de « contre ténor » : Purcell, Haendel, Girolamo Frescobaldi, Britten, Giacomo Carissimi. ».

TV@ : Quelle est la principale particularité de votre voix ?

Dayan : « Je peux chanter avec une voix féminine, sans aucun effort, ni imitation, grâce à une voix unique en son genre. »

img011_retouche.jpgTV@ : Quelles ont été vos premières grandes scènes ?

Dayan : « À 23 ans, j’ai commencé à chanter les oeuvres toutes en nuances, avec cette même passion qui me caractérise.

J’ai ainsi participé à de nombreux concours de chant, pour me faire connaître : « Graine de stars », « Graines d'artistes », « Concours Européen de la Chanson Française », « Concours des jeunes talents », « 5ème nuits des oscars »....

TV@ : Vos participations à ces différents concours vont-ils permis de vous faire remarquer ?

Dayan : « En 2000, j’ai ainsi été recruté pour jouer dans la troupe des comédies musicales de cette année-là, qui était produite par Glenda TOURRET.

Il s’agit de la directrice et présidente de l'Association. COPYCAT, qui s'est spécialisée dans des :

- Prestations artistiques de variétés, danse et théâtre.

- Comédies musicales.

- Spectacles à thèmes (Halloween, Noël, Mariages, pâques, Carnaval et fêtes traditionnelles...).

- Spectacles de magie et d'illusions, mais aussi l'accès au merveilleux monde du transformisme qui fait vivre et revivre nos plus grands artistes.

Cette troupe de « Copy cat » m’a permis de jouer de nombreux rôles, passant par « Starmania », « Grease », « Singing in the rain », « West side story », « Les Demoiselles de Rochefort » et « Notre-Dame de Paris ».

Pendant deux ans, nous avons assuré une trentaine de galas et connu ainsi le succès, à chaque représentation. »

A suivre …

Dans la vidéo ci-dessous, Dayan nous raconte ses meilleurs souvenirs au sein de la Troupe des Comédies Musicales et Variétés.  

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  • : Ce magazine multimédia présente des reportages, avec articles, photographies et productions audiovisuelles numériques, consacrés à divers sujets artistiques, culturels, de loisirs et touristiques.
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